La vie est trop courte pour faire la gueule [PV Kelvin]

La vie est trop courte pour faire la gueule [PV Kelvin] 45

J. Kelvin Sorensen & Briséis Ferguson

Ils sont pas méchants; mais qu'est ce qu'ils sont chiants !

Briséis se trouvait dans la bibliothèque, elle était en train d’écrire une lettre à ses parents car elle était obligeait de leur écrire une fois par semaine. Autant dire que ses lettres n’était pas vraiment remplis, elle disait les même chose dans chacune d’elle « tout va bien, ne t’en fait pas maman je mange bien et je ne suis pas martyrisé par mes camarades » Car oui, sa mère n’arrêtait pas de regarder des émission montrant la violence dans les écoles, depuis elle n’arrêtait pas de la bassiné en lui demandant si elle n’était pas victime de raquette ou autre, ce qui désespéré au plus haut point notre chère Briséis. Sa mère s’imaginait toute sorte de chose : comme quoi on lui lancer des sort ou autre.
Elle ne savait pas quoi écrire d’autre, d’autant plus qu’elle n’avais pas vraiment l’envie de leur parler de ses chagrins, elle n’avait pas envie de leur parler tout court. Avant elle avait une forte relation avec ses parents, maintenant depuis son adolescence elle n’avait qu’une envie : les fuir. Elle n’avait pas était tendre ces dernières années avec eux, mais c’était plus fort qu’elle, elle ne pouvait pas faire semblant de ne pas leur en vouloir …
Elle venait de finir sa lettre et se mit en direction de la volière tout en repensant à la nuit passer. Elle avait fait un rêve plutôt étrange, de toute façon tout ses rêve était plutôt étrange : elle se marié avec une théière dans une île avec pour témoin une chaussette o_O. C’était l’un de ces rêves ou quand on se réveille on est bien content que cela ne soit pas vrai. Elle venait d’arriver à la volière pour déposer sa lettre, il n’y avait personne, en même temps personne n’était présent car il fessait vraiment beau dehors malgré la légère brise fraîche qui picotait les joues de Briséis. Briséis repensait à ce qu’elle devait faire maintenant et une boule s’installa dans son ventre.
Elle devait aller dans la foret interdite … elle avait horreur de la foret et encore plus de la foret interdite. Elle avait eu une retenue par Russard et elle devait aller chercher une sorte de plante bleue qui servait à guérir contre les brûlures. Il l’avait en quelque sorte obliger d’y aller lui assurant qu’il n’y avait aucun danger … ou pas. Il l’avait quitté avec cet affreux sourire sadique qu’elle rêvait un jour de lui arracher. Elle ne se sentait pas d’y aller toute seule, c’est pour cela qu’elle avait demandé à Kelvin de venir avec elle. Elle était une grande peureuse, une très grande peureuse, elle pouvait trouver un scarabée par terre qu’elle gueulerait comme si il y avait un mangemort prés d’elle. En plus de cela il fallait ajouter que la jeune fille n’avait aucun sens de l’orientation, la preuve : un jour elle c’était perdue au chemin de traverse et avait dû demander à un couple d’étranger de lui indiquer le chemin … Elle devait attendre Kelvin devant la forêt. Il n’était pas encore arriver, cela était normal maintenant il commencé à connaître Briséis elle lui avait donnait rendez-vous une demie heure avant et comme à son habitude elle était en retard. On aurait dit qu’elle partait en voyage vue l’énorme sac qu’elle avait : elle avait prit toute ses précautions. Une bombe à insectes car elle à horreur des insectes, des gants, un couteau (on ne sait jamais), une boussole (même si elle ne savait pas s’en servir) et tout plein d’affaires n’étant pas vraiment utile. Briséis était le genre de fille ultra pessimiste, elle s’imaginé déjà être attaquer par une bande de chauve souris enragé et les professeurs de l’écoles retrouverait leur dépouille dans la forêt … elle trouvait que c’était une fin assez pathétique pour eux. Elle avait d’ailleurs fait par des divers scénarios possible qu’annonçait cette journée à Kelvin, il lui avait bien rie au nez.
Elle fut tiré de ses songe par un craquement de bruit venait de derrière elle, son cœur commencer à battre à une vitesse hallucinante quand elle dit dans un souffle :

« Ne me me tué pas, par pitié je suis sans défense et j’ai un petit chat qui sera orphelins si vous lui ôter sa maman –‘ »

Elle entendit un rire qu’elle ne connaissait que trop peu : c’était Kelvin. Elle se retourna avec un regard meurtrier.

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