Soirée de folie ! Le lendemain va être dur. [Tout le monde est invité]

• A peine avais-je finis de répondre à Seraphina, un garçon qui m'était totalement inconnu vint à notre rencontre. Une peau bronzée, des cheveux châtains avec une frange qui lui tombait sur ses beaux yeux bleus ... Ce jeune homme grand et musclé me faisait penser aux surfeurs californiens que j'avais eu l'occasion de rencontrer lors de mes vacances. Il portait une tenue de soirée, comme il convenait de mettre lorsque l'on se rend à ce type de soirée. Une fois à côté de nous, il nous dit :
  
  - Salut les filles, alors on s'amuse bien ? Vous êtes radieuses ce soir. Je vous conseil le cocktail bleuté. Il fait fureur.
  
  Il avait l'art de bien savoir parler aux femmes, ça devait être un habitué de ces soirées où on ne peut que repartir accompagné. D'après ce qu'il dit à Seraphina, j'en conclu qu'ils se connaissaient. Pendant ce temps, je portai à mes lèvres mon cocktail bleu : celui là même dont le jeune homme avait parlé précédemment. Ce dernier se tourna vers moi et me dit :
  
  - Je suis Will, l'organisateur de cette soirée. Enchanté de te rencontrer. A qui ai-je l'honneur ?
  
  Ainsi mon analyse s'avérait juste, c'était un habitué de ces fêtes puisqu'il était lui-même un organisateur de soirées à succès. Oui, car celle-ci était particulièrement bien réussie je dois l'avouer. En parlant de ça, je me demandai bien qui avait pu m'inviter puisque Will m'était inconnu jusqu'à maintenant. Je lui répondit en souriant :
  
  - Alexys, je suis ravie de faire ta connaissance. Cette soirée est superbe, c'est l'une des meilleures auxquelles j'ai participé à Poudlard ! Je suppose que ce n'est pas toi qui m'as envoyé un carton d'invitation mais bon, malgré que beaucoup de personnes me soient inconnues j'adore cette fête.
  

- Je n'ai rien tenté, car je ne voulais pas être dans le tas de filles collées a tes baskets, je ne suis pas ce genre de filles, j'aime apprendre a connaître la personne, et ne pas faire ma " Groupie ".

Il l'avait faite rougir. Ca lui donnait une sensation de puissance de faire rougir les filles. Et conjugué à l'alcool de ce soir, il se sentait drolement invincible. Il trouvait que les filles étaient plus jolies lorsqu'elle rosissaient légèrement. Elle paraissait naïve et enfantine. Féminine aussi.
Et sa réponse le fit sourire. Combien de fois est-ce qu'il avait entendu ça, 100 fois ? 1000 fois ? En fait il avait arrêté de compter avec la 827 ème. Par leur envie d'être différentes les filles finissaient toujours par se ressembler. A force de vouloir toujours sortir du lot on est obligés d'entrer dans un autre. "Je ne suis pas ce genre de fille " Une fille facile ? Elles étaient toutes faciles les filles. Elles attendaient simplement qu'on leur court àprès et qu'on les séduise. Car elles aiment se faire désirer. Mais dans le fond, depuis le début elle rendent les armes. Depuis le moment où elles plongent leur regard dans celui du séducteur, elles sont vaincues. La tactique était de leur faire croire qu'elles gagnaient. Et ça marche à tous les coups. Il allait entrer dans un discours philosophique sur les groupies, leur utilités, leur fondement idéologiques lorsqu'elle devint tout à coup très pâle. Et son sourire perdit son éclat et son naturel.
Il n'était pas difficile pour Evan de comprendre ce qu'elle venait de voir. Will et une autre fille. Son meilleur ami avait encore fait des siennes. Il s'avait pourtant qu'il ne tenait pas bien l'alcool.
Il s'approcha encore un plus pour lui parler.

"Tu sais il n'y a pas mal à s'amuser de temps en temps, à se laisser aller. On ne passe pas forcément pour une "groupie" ou une fille facile. Les filles m'aiment mais n'oublie pas que je leur rend bien"

Ses paroles étaient bien sur à double sens. Mais il préferait ne pas faire d'allusion directe à Will et à son hypothétique futur adultère pour ne pas avoir à gérer une petite amie en pleurs. Alors il essayait de la distraire.

• - Ce dois être Bastien qui a du t'envoyer l'invitation. Je lui ai demandé de ramené un maximum de monde. Comme je me voyais mal allé dans toutes les salles communes, je lui ai demandé de distribué en mon nom.
  
  J'inclinai la tête en signe d'approbation. Il était en effet très vraisemblable qu'il soit l'émetteur du carton d'invitation car il avait une jolie réputation de fêtard. Un peu comme moi ... jusqu'à cet été. Revenant sur terre, je reposai mon regard sur Will qui continua :
  
  - En tout cas sa me fais plaisir que t’apprécie la soirée. Il y a beaucoup de gens que je ne connais pas également mais bon, c'était surtout pour que tout le monde apprenne a ce connaître. C'est la base des fêtes. Le plus dur fut de trouver le DJ. La dame grise m'a présenté une de ses connaissances qui était DJ de son vivant, il a tout de suite accepté.
  
  Mon regard se posa à présent sur le fantôme qui exerçait ses talents aux platines. Il avait l'air sympa, il était du moins probable qu'il soit un tantinet moins froid et distant que ce cher Baron Sanglant qui, une fois qu'on le connaissait bien, avait tout de même des qualités. Je répondit à mon interlocuteur sur le ton de la plaisanterie avant qu'il continue sur sa lancée :
  
  - Pour être aussi doué aux platines, il ne doit pas être de la même époque que la Dame Grise à moins qu'ils n'étaient pas aussi branchés baroque qu'on le dit !
  
  Regardant par dessus l'épaule de Will, je vis une jolie jeune femme blonde qui me regardait. A moins que ce ne fut Will qu'elle fixait comme cela ? Néanmoins, cette demoiselle était aussi pâle que le Maître et j'en ignorait la raison. Enfin elle détacha son regard de nous et je pus de nouveau me concentrer sur les paroles de mon interlocuteur :
  
  - J’espère que tu t'amuse bien. Hésite pas à aller voir les gens, les langues sont presque toutes déliées. Évite le coin de gauche, c'est l’endroit où l'on trouve le plus de cadavre.
  
  Il me regardait maintenant avec insistance, me dévorant du regard autant qu'il le pouvait. Will essayait de ce faire discret, mais l'alcool commençait à faire effet sur lui apparemment. Je bus les dernières gouttes de mon cocktail, gênée par ses yeux posés sur moi. Je faisais celle qui ne voyait rien, jouant un peu avec ma bague avant de lui dire :
  
  - Merci pour le conseil ! A ce que j'ai pu observer, en plus d'être déliées les langues sont aussi pas mal sollicitée pour des mouvements circulaires ....
  

• Will sembla étonné par les paroles que je venais de prononcer. Je ne remarquai qu'un fait réel, mais on pouvait en effet découvrir un sens caché à ces paroles. Certes j'étais blonde et ce naturellement en plus, mais j'avais bien compris pourquoi la demoiselle de tout à l'heure était toute pâle en nous regardant. Lors de mon arrivée, elle dansait avec lui et de façon très rapprochée avant de l'embrasser. Ce n'était que maintenant que je m'en souvenais. Will me dit :
  
  - Il est vrai que beaucoup de couple se forme dans cette soirée, mais beaucoup d'amitié également. Sinon, tu vois quelques personnes que tu connais dans cette salle ?
  
  J'observai la foule présente dans la salle sur demande, peu de têtes m'étaient connues. Il faut dire que depuis la rentrée je n'avais pas spécialement chercher à élargir mon cercle social, repoussant même le peu de personnes présentes dans ce dernier. Je m'étais renfermée sur moi même, ne voulant qu'être avec une seule personne en cherchant pertinemment que c'était impossible. Je répondit finalement à Will :
  
  - Non, je n'en vois pas et c'est peut-être mieux comme ça ... Beaucoup de couples se forment en soirée certes, mais ces derniers généralement se brisent le soir même. Je n'ai jamais fait confiance aux soirées pour élargir mon cercle social ou former un couple solide ...
  

Henri en etait a son dixieme verre rempli de coktail. Pourtant il voyait encore net et ne semblait pas trop ahuri quand on vennait lui parlait, de temps en temps. Il voulait se mettre plus bas que terre, plus bas que tous, pour pouvoir enfin comprendre ce que certains ressentent quand ils se font laches. Apres tout, Henri n'avait jamais vraiment ete un bourreau des coeur, et donc n'avait pas l'experience de ce genre de chose. En effet, il se souvenait tres bien de sa derniere discution avec Luna, la charmante Serdaigle. Ils s'etaient disputes, et il doutait que cela allait s'arranger. Alors il buvait. il tentait d'oublier, mais a chaque verre, le souvenir se faisait plus marquant. Comme s'il tournait autour de ses yeux.

Alors qu'il venait de vide son onzieme verre, la porte se reouvrit. il se demandait qui pouvait bien arriver encore a cette heure ci...

Et la, le choc. Il vit Charlotte, sa promise, dans une tenue plutot sexy, il fallait l'avouer. A la limite du vulgaire mais qui cachait l'essentiel.Autant dire que l'imaginaire etait tres present dans ce genre de tenue... il deglutit preniblement quand il sentit son regard de braise sur lui. Il hesitait. Alait-il la rencontrer, danser avec? Bien qu'il en mourrait d'envie, cela aurait pu aguiller certains vers la vraie nature de leur relation. Henri ne savait si c'etait une bonne chose pour elle ou meme pour lui. Il se demandait meme s'il pourait se le pardonner, si elle etait exclue a cause de cela.

" Oh et puis merde! C'est une soiree, au pire, on poura dire qu'on est petes!" pensa alors Henri, se leva rapidement.

Il s'etait leve peut etre un peu trop vite, car des etoiles dansaient la sarabande devant lui. Les oculeurs avaient disparuent dans un flash, et il ne voyait plus que les contours flous des personnes. Avait-il abuse sur ce coktail?

Aussitot pensait, aussitot sa vue s'ameliorait. En effet, les vampires etaient connus pour etre d'excellent buveurs. Sachant que leur organisme aspirait l'alcool pour en faire du glucose, c'etait un peu de la triche. Mais peut impotait maintenant. il se sentait bien et s'avanca d'un pas assure, comme s'il etait sobre, vers sa dulcinee.


"- Alors, on se lache, mademoiselle la prefette? " fit Henri, avec un leger sourire charmeur. La proximite de l'etre qui l'attirait tant lui etait dificilement supportable, il voulait gouter ses levres, a tout prix. Il resista tant bien que mal.

Ahah, merci pour tout ces compliments Evan. J'ai vu comme tu regardais Charlotte, tu peux aller la voir si tu veux, je ne me vexerais pas ..

Rejoindre Charlotte ? Non. C'était hors de question. Elle l'évitait, elle l'ignorait et ce soir il n'avait aucune envie de lui courir après comme un chien. En plus, Henri était déjà sur l'affaire. Malgré tout, tous les garçons de la salle s'étaient retournés, laissant leur occupations et parfois leurs conquêtes du soirs pour regarder l'entrée de Charlotte. Elle monopolisait l'attention et les regards. Comme chaque fois se dit Evan. Mais ce soir il ne voulait pas faire des efforts pour sortir du lot. Devoir marcher sur les autres pour attirer l'attention de la Serpentarde. Et puis le risque de se ridiculiser en publique était bien trop grand. En plus, Darcy était charmante, sa compagnie agréable et il passait une excellent soirée. Rien ne lui disait qu'il serait plus amusant de la passer avec Cha'. Il était bien son verre à la main en grande discussion avec sa collègue Serdaigle.
Justement, Darcy rougit légèrement et son sourire était digne d'une pub de dentifrice sous le coup des compliments d'Evan. Mais il sentait bien qu'elle n'était pas totalement sobre et dans son état normal. Il lui fit signe de se pencher pour pouvoir lui murmurer à l'oreille, comme un secret. Ce qu'elle fit, il se pencha à son tour et lui dit tout bas au creux de l'oreille.

"Je n'irais pas voir Charlotte, parce que tu es un millionième fois plus intéressante que cette fille. Et je t'assure que ces compliments tu les mérite je te le promet".

Il se releva pour voir sa réaction. Il y avait peut être été allé un peu fort cette fois. Il se dit qu’heureusement William était un peu trop occupé, il aurait surement mal pris les petites cachotteries et mots que son meilleur ami chuchotait à l'oreille de sa petite amie.

La reponce que Henri attendait s'etait faite attendre, mais le visage charmeur et le sourire allant de pair de Charlotte lui fit rapidement oublier ce minuscule vent. Il avait le regard plonge dans celui de sa compagne, d'une telle profondeur qu'il ne voyait plus le reste. Toujours avec son sourire, il lanca un accio rapide sur un gobelet vide, quand sa chere promise lui avait dit qu'elle voudrait boire.

Puis, a l'evocation du cidre, une etincelle de malice passa dans le regard de Charlotte, Henri compris tout de suite le sous entendu, comment oublier cette nuit ou le grand-pere de Charlotte leur avait fait "gouter" le cidre maison... Ce soir la, il avait decouvert pour la premiere fois que les vampires n'etaient pas de gros buveur pour rien, ils en avaient les capacites. 'etait aussi ce soir la qu'il vit Charlotte endormie pour la premiere fois. D'habitude, ils s'endormait dans le salon et se reveillaient dans leur chambre, deplaces et separes durant la nuit. il sourit de plus belle en se rememorant ce souvenir qui fut un des plus heureux de son enfance.

"-Mais bien sur, ma chere. Cidrumentis" fit Henri, en servant le cidre a meme la baguette. Ce sort, bien sur, lui avait ete transmis par son pere. Pour une raison obscure, il lui avait ainsi appris a appeler divers alcool de la sorte. Le cidre devait etre plutot doux, mais il n'etait pas garantit que le taux d'alcool soit dans les normes...

" Mademoiselle est servit!" s'exclama Henri, en tendant le verre a sa promise.

Alors qu'elle prenait le verre, leurs mains entrerent en contacts, creant une sorte de frisson mutuel. Ils ne devaient pas trop le montrer en public, mais ce soir etait different, toute sorte d'excse impliquant l'alcool etaient plausible, personne ne se souviendrait de rien, ou du moins, peu de personne feront attention a eux. Alors pourquoi ne pas se lacher, pour une soiree...

"-Tu est ravissante, comme toujours..." dit, plus doucement, cette fois, Henri, un sourire plus timide au visage. Il contnuait de la regarder dans les yeux. Dieu qu'il aimait ce contact visuel! Tant de choses passaient entre eux, que les mots etaient parfois superflus.

Alors qu'il avait dit cela, il attrapait d'un geste doux la main libre de Charlotte, l'attirant legerement vers lui.

Le slow avait a peine commence que deja Henri et Charlotte etaient colles ensemble, a danser lentement, comme si personne d'autres n'etait la... Le monde autou d'eux n'evoluait qu'avec les notes langoureuses et chaude que degage le slow envoutant. Un ou deux autres couples ephemeres dansaient serres, toutes bouches collees. Henri les enviait quelque peu...

Alors que le ocntact visuel etait a son apogee, qu'il pouvait lire ses pensees comme s'il lisait un lire, le jeune homme la vit se rapprocher doucement, les yeux se fermant. Il ne reflechit pas plus d'un quart d seconde, juste assez pour accompagner ce geste qui leur avait semblait tellement naturel, la suite logique de leur sentiments respectifs. Le baiser etait long, langoureux, la passion etait a peine voilee. Pendant q'ils s'embrassaient, Henri eut un sursaut de conscience... Et si quelqu'un s'en souviendrait? Il etait fort possible que leur relation tenue sercrete depuis toujours soit revelee enfin au grand jour, a la lumiere tamisee de la verite. Mais ce qui etait bien avec les sursauts, c'etait que c'etait bref . Aussi, il s'abandonna au levres douces pulpeuse de sa chere et tendre. Il ressera quelque peu sa prise sur les hanches de Charlotte. Il souriait interrieurement comme un idiot. Meme apres tout les verres qu'il s'etait pris, il n'avait pas eu l'esprit aussi embrume que lors de ce baiser ennivrant. Toute fois, la realite les rattrappa. Il eut une crise d'hyper-audicite, c'est a dire que son ouie s'etait activee a cent pourcents. Aussi, il entendait toutes les conversations, melangee dans une joyeux fouilli. Henri tenta vainement de le cacher, mais il doutait quelque peu de l'efficacite de son masque. Il se contentait d'admirer la beautee sans nom de Charlotte. Elle etait magnifique, vu de cette angle et de cette proximitee, encore plus que d'habitude. Ils n'avaient eut que tres preux de contacts aussi serres, et tous ou presques avaient etaient gache par une quelconque raison... Apparement, cette fois, il n'y aurait pas de miracle, car sa promise n'avait pas l'air d'aller si bien qu'elle en avait eut l'air, aupparavant...

Alors, quand la musique s'acheva, et que les rares personnes encore debout eurent applaudis le courage des participant de ce moment magique, il s'isola avec elle. il savait qu'il y avait des salles paralleles, car il y avait vut partir plusieurs tombeurs. Peut etre qu'il y avait encore un lit de libre, pour elle. Elle devait surement avoir besoin de sommeil. L'infirmerie etait trop loin pour la transporter, bien qu'elle n'etait pas tres lourde. En effet, un corps n'etait pas facielement cachable et il doutait que cette petite fete soit autorise par la direction. Aussi, Rusard devait surement etre poste devant la salle, ou alors en train de surveiller l'etage...

La Salle sur Demande avait peut etre eut la conscience de creer des espaces separes, comme des chambres, ou des salles plus petites que la principale, ou l'ont pouvait decuver seul, dignement, ou alors etre accompagne d'une charmante compagnie. Masculine ou feminine. En tout cas, cet espace serait surement profitable pour Charlotte et Henri, qui, tout deux, semblait avoir besoin de repos du moins pour un moment. Apres, ils pouvainet toujours continuer la fete. Apres tout, Charlotte etait arrivee un peu plus tard que lui, et il avait eu du retard par rapport au debut de la fete...

"Tu compte marcher longtemps encore? Stop!" pensait Henri, alors qu'il sentait qu'il ne s'arretait plus, ils avaient marche un moment pour s'eloigner, mais la, ils n'entendait pls que les basses de la musique qui avait de nouveau change, pour prendre les couleurs chaudes et emflammees du flamenco...

"- Ca va aller?" s'enquit Henri, au teint legerement pale de Charlotte. Il avait remarque que sa peau etait n peu plus froide que d'habitude, qu'elle avait un regard un peu plus vitreux... mais il ne s'en etait pas inquiete. Toute fois, maintenant qu'il etait face a sa douce, il le remarqua pleinement et s'en inquietait.

N'attendant pas la reponce, il tenta d'ouvrir une porte, qui ceda facilement et ils decouvrirent un lit deux place ainsi qu'un canape qui semblait tres mouelleux. Henri, bien que conscient que la situation n'etait pas propice a ce genre de pensee, n'eut pas d'autre idee que de se dire qu'ils etaient tranquiles, ici, si jamais...

Il secoua sa tete vivement, et se tourna vers Charlotte, le rouge au joue. Il voulait parler, mais la encore, sa gene l'avait paralize. Mais il montra le lit, puis sa compagne du regard. Il ne savait quel sens elle allait comprendre et esperait qu'elle ne le prenne pas mal...