Noémésie ••• Enfin...Sur un Baiser...Je meurt! [Fiché Terminée le 13/09]

I. IDENTITE

Nom : Roy. Très ancienne famille de l'île. Prénom(s) : Noémésie Ematine. Dans la famille Roy, et ce depuis des siècles, le premier né à le droit à deux prénoms! Surnoms (facultatif) : Noé, Noémie, Ema, Mésie Née le : Je suis née en 1969 durant un long mois de nuit et donc d'hiver! J'ai donc 27 ans! Lieu de Naissance : Je suis née sur l'île d'Ellesmere dans le Grand-Nord Canadien! Là où il fait très froid! Parents : ROY; Mathelin: Patriarche de la famille Roy, il est aussi l'intendant de la famille a plus large échelle depuis que son frère, l'aîné, est mort. Mathelin est un simple pécheur qui n'a jamais rien demandé à la vie, il prend ce que celle-ci lui apportes et ne cherche pas plus que cela à contrôler la magie. C'est un très bon père, aimant et qui tente d'offrir à sa famille le meilleur! ROY; Reine-Aimée: Matriarche de la famille Roy, elle est devenue intendante suite au décès de son beau-frère et à la nouvelle nomination de son mari. Elle a fait des études à Alkren, mais lorsqu'elle à rencontrée Mathelin, elle a décidé de tout quitter pour lui! Elle aime ses enfants et son mari. Elle s'efforce de faire vivre toute la famille Roy et d'être l'une des meilleures intendante du village! Frères & Soeurs : ROY; Florémont: Florémont est mon petit frère, il est né deux ans après moi. On pense souvent que nous sommes jumeaux, à tort évidemment! Il veut devenir pêcheur tout comme notre père et pense à reprendre l'affaire familiale! Je m'entend très très bien avec lui, nous sommes très complice. ROY; Oldélise: Oldélise me voue un culte sans pareil, je ne comprend pas vraiment pourquoi, mais je suis son héroïne! Elle a déclarée à plusieurs reprises qu'elle voulait devenir comme moi, malheureusement elle n'en a pas les capacités et je crains le jours de ses neufs ans et la déception qui s'en suivra! Bien sûre je serais là pour elle. Autres (enfants...) : Pas d'enfant, pas le temps! Bien que j'aimerais beaucoup en avoir! Sinon, j'ai un familier depuis l'âge de sept ans, un léopard des neiges! Une femelle prénommait Libée!

Situation familiale (célibataire, marié...) : Je suis célibataire. Oui, le travail m'empêche de me consacrer totalement à ma vie sentimentale jusqu'alors!

Maison à Poudlard (pour les adultes) : Je n'ai pas fait mes études à Poudlard, mais bel et bien à Alkren
Métier (pour les adultes) : En recherche! J'ai travaillée au ministère pendant quelques années, mais je m'y ennuyais, j'ai alors décidé de parcourir le monde et je m'arrête au Royaume Uni pour le moment!
Groupe (ordre, mangemort ou neutre) : Sorciers Etrangers

II. HISTOIRE

Récit de vie, histoire du personnage (une dizaine de lignes) :

Je suis née sur l'île d'Ellesmere il y a vingt-sept ans de cela. L'île d'Ellesmere est située dans la Grand-nord canadien, tout près du pôle Nord. Nous y parlons un patois répandu sur toute l'île, mais aussi l'anglais et le français pour éviter aux jeunes d'être coupé du monde extérieur. Les conditions y sont très rudes. Des hivers très froids et des étés un peu moins froid! Durant presque la moitié de l'année nous sommes plongées dans le noir total, c'est à cette période là qu'il fait le plus froid et que nous appelons donc l'Hiver. Nous avons le droit à un été très bref, un mois et demi, la glace fond au milieu des Terres, laissant apparaître des plaines multicolores. Ce spectacle est magnifique et chaque débuts d'étés est ponctués par une sorte de pèlerinage. Tous les villages de l'île, pour la plupart sur les côtes, qu'ils soient moldus ou Sorciers se dirigent vers les terres du milieu pour assister à ce spectacle. Las fleurs fleurissent en quelques jours, belles et resplendissantes au soleil. Toutes les nuits, les étoiles sont hautes dans le ciel et elles brillent intensément, le ciel est pur par chez nous! Les nuits d'Hivers, nous avons le droit à un autre spectacle, les Aurores Boréales, spectacle tout aussi beau, des nuées roses, vertes, jaunes se déplacent, formant une sorte de chemin. Nos coutumes disent que c'est le chemin qui conduit les âmes vers une autre vie.

Malgré ce que je viens de vous dire sur cette île, nous y vivons depuis des siècles, ma famille descend directement des « premiers » hommes qui vivaient sur l'île d'Ellesmere. Ils étaient sorciers eux aussi. Ils ont vu l'arrivée des colons d'un mauvais oeil, mais ils s'en sont accoutumés, peu de sang à couler dans cette partie du monde. Tant mieux. Ma famille est rapidement devenue un mélange à la suite de l'arrivée des colons, deux cultures se côtoyaient. Je suis la descendante d'un melting-pot qui a bien marché et qui nous a profité. Mes parents se sont rencontrés un peu par hasard, mon père sorcier de sang pur était le deuxième fils de sa famille. Son père intendant et commandant d'un bateau de pêche, lui avait demandé de se rendre sur le continent pour acheter de nouvelles planches de bois plus résistantes. Celui-ci avait vingt ans. Ma mère, elle, habitante du continent et étudiante à Alkren, s'était rendue ce jour-là au marché pour faire les courses avec sa mère et sa grande soeur qui devait se marier. Ils se sont bousculés et Mathelin est tombé sous le charme de cette belle continentale. Ma mère, Reine-Aimée, n'avait que dix-huit ans à l'époque et était en plein dans ses études. Cependant, après plusieurs mois à se côtoyer, Reine-Aimée tomba follement amoureuse de Mathelin. Elle décida de tout quitter pour vivre avec lui et partir pour l'île d'Ellesmere. Mes grands-parents n'étaient pas d'accord, mais elle ne les écouta pas, elle suivît ce que lui dictait son coeur et non sa raison. Elle était pourtant promise à un brillant avenir de Politicienne, elle finit Intendante.

Ils se marièrent et quelques années après, je naissais. Ils me donnèrent deux prénoms comme le voulait la coutume. Ma mère était femme au foyer pendant que mon père partait à la pêche. Mon grand-père paternel mourut le jour où mon frère vit le jour. Je n'avais que deux ans, je ne me souviens pas très bien de cet homme. Ce fut mon oncle, le frère de mon père, qui prit la succession de l'entreprise familiale et qui devint intendant avec sa femme. Nous vécûmes sereinement durant cinq ans. Ma cinquième année fut justement celle où nous eûmes le plus peur. J'avais accompagné mon père à la pèche, je me baladais sur le port pendant que celui-ci discutait avec d'autres marins. Un orque a jailli de l'eau et m'a happé par le manteau. Celui-ci m'a entrainé avec lui, les marins ont attrapé leurs harpons et leurs baguettes pendant que trois d'entres eux, dont mon père, se jetaient à l'eau. Ils ont réussi à me récupérer, Dieux sait comment, et m'ont sauvés la vie. Depuis, j'ai une peur bleue de ces bêtes-là. Deux ans après, je faisais la rencontre d'un autre animal, non moins dangereux. Je me baladais seule dans les alentours du village, j'entendis un feulement au loin, je m'étais arrêtée net et avais tourné la tête. J'avais plissé les yeux et avais cherché d'où pouvait provenir ce bruit qui résonnait dans l'air froid de la neige. Je vis une silhouette se déplaçait. J'avançais doucement, la silhouette émit un second feulement et se dirigeait vers moi. Lorsqu'elle avait été assez près, j'avais poussé un petit cri. Un bébé léopard!


Noémésie ••• Vient ici! Petit, petit!


Il s'était approché lentement, il avait repoussé un feulement et s'était retourné. Il avait commencé à marcher dans une direction. Je décidais de le suivre après un regard en arrière. Nous arrivâmes à une sorte de motte de neige. Il se posa dessus et feula.


Noémésie ••• Elle est où ta maman? Hein?


Il descendit de la motte et se mit à lécher la neige. Je m'approchais de celle-ci et poussait d'un revers de main la neige. Je découvrais le cadavre d'un léopard, sûrement sa mère. Je détournais mon regard, triste et le léopard vint se poser près de moi.


Noémésie ••• Ta maman est morte... Je vais te ramener à la maison, j'ai une maman et elle pourra devenir ta maman si tu veux!


J'avais attrapé le bébé qui s'était laissé faire et l'avait enfouie dans mon manteau pour qu'il y soit au chaud. Nous étions rentrés, ma mère avait bien vu que je cachais quelque chose, lorsque je lui avais montré le bébé, elle s'était attendrie et m'avait dit que je pourrais le garder à condition que mon père soit d'accord, elle rajouta qu'il avait du s'échapper du cirque qui avait élu résidence pendant quelques semaines. C'est pourquoi lorsqu'il rentra de la pêche, je lui sautais dessus et lui demanda si je pouvais garder le bébé léopard, lui promettant que je m'en occuperais, que je lui donnerais à manger, ect... Il accepta, rajoutant que si le cirque repasserait, on lui rendrait le bébé Léopard des Neiges, mais ça n'arriva jamais!

À mes neufs ans, je reçus une lettre et une brochure par Hiboux. Ma mère me parla plus amplement de ce dont parlé ces brochures. Elle me dit qu'elle y était allée et que si je voulais m'y rendre aussi, il fallait que je sois forte, autant mentalement que physiquement. Elle me dit aussi que je pourrais emmener Libée, mon léopard. Un professeur d'Alkren débarqua un jour dans notre petit village. Nous l'accueillîmes à bras ouverts, ma mère le connaissait! Je lui prouvais que j'étais déterminée à m'y rendre et à faire tout mon possible pour être la meilleure. Il me fit passer quelques tests et me dit qu'Alkren serait heureux de me compter parmi ses élèves.

Lorsque je suis arrivée à Alkren, la première chose qui me soit passé par la tête était « Putain! ». Je trouvais l'école tellement belle est grande que j'en restais bouche bée. Je fus intimidée au début, mais je repris rapidement contenance. J'aimais bien les « règles » d'Alkren. C'était sympathique, dans un magnifique cadre, mais on comprenait bien dès les premières semaines que ce serait une perpétuel compétition entre tous les élèves, même ceux avec qui on se lier d'amitiés. J'arrivais donc avec Libée, jeune encore, mais qui m'écoutait déjà fort bien! Nous étions très liés et elle n'écoutait que moi. J'avais un fort caractère, pas dans le sens où j'étais une tête de mule, mais plutôt dans le sens où j'avais vécu pendant neufs ans dans des conditions extrêmes, ce n'est donc pas à moi qu'on apprendrait que la vie était dure et qu'il fallait se battre pour rester en vie. Voilà qui j'étais, jeune Ellesmérienne de neuf ans, dans un nouveau monde d'apprentissage. J'en voulais toujours plus et donnais le meilleur de moi dans tout ce qu'on nous faisait faire. Je passais donc deux ans dans ce début d'atmosphère, un très bon entraînement pour la suite selon moi. J'avais été jugés apte à passer aux niveaux suivants. On m'envoya dans l'aile latérale gauche, une chambre assez grande pour moi et Libée. J'avais appris à prendre le moins de place possible et Libée aussi, du coup, nous n'occupions qu'une petite partie.

On nous demanda de choisir des matières que nous aimerions étudier, je fis un choix assez large, rien ne m'empêcher d'arrêter le cours si je ne me sentais pas capable de continuer. Je pris la Sanguimagie, l'Espionnage et Dissimulation, Combat à armes blanches, Combat Magique, Filimagie, Alchimie, Métamorphose et l'Histoire de la Magie et Moldus. Mes matières de prédilections étaient la Filimagie, le Combat à armes blanches, l'Espionnage et la Sanguimagie. Pour les autres matières, je ne me débrouillais pas trop mal, je tentais de faire de mon mieux partout. Je n'arrêtais aucunes matières, il ne fallait pas montrer que nous étions faibles. Lorsque j'avais vu les Combats à armes blanches, ça m'avait donné envie de le faire, j'avais sauté sur l'occasion. On m'avait proposés plusieurs armes, je les avais toutes essayés unes par unes, mais mon choix c'était arrêtes sur une épée fine et légère. J'excellais sans contexte dans cette matière, je passais les nivaux rapidement, Libée rugissait à chaque fois que je me blessais, elle était prête à se battre avec le familier de l'adversaire si c'était possible. Pour les autres matières, je passais les niveaux en même temps que mes années. L'adolescence, c'est aussi le moment où les sentiments prennent le dessus de quasiment tout pour certains d'entre nous. Pour ma part, ça m'arrivait. J'avais seize ans et j'avais un adversaire privilégiés, nous étions toujours en compétition. Un soir, nous nous étions retrouvés à l'extérieur, dans le jardin, d'un geste commun, nous avions fait venir nos armes et nous nous étions battus pour le plaisir. Il m'avait désarmé et m'avait renversé au sol, je n'avais pas résisté à l'envie qui me tiraillait et je l'avais embrassé. Cela avait continué pendant quelques minutes avant que, pris par la passion, nous nous retrouvions dans sa chambre. S'en suivi ce qui s'en suivi. Nous sortions ensemble, pendant un an, il n'y eut pas d'accident majeure, bien que celui-ci voulait tout le temps me surpasser.

Ce désir lui fit perdre la raison dirais-je. Nous avions une sorte de journée dédiés aux combats et duels. Ce jour-là, tout s'arrêta, on nous encouragea à faire un combat l'un contre l'autre. Nous avions accepté et bientôt, ses dagues ricochaient contre mon épée. Et puis, après quelques touches simple, sa dague vint se planter à dix centimètres en dessous de mon coeur. Les cris d'encouragement se turent, je tombais en arrière, alerte, regardant la dague plantée dans mon corps, je remontais mon regard vers celui que j'avais aimé, un léger rictus s'était formé sur ses lèvres et j'avais entendu un « je t'ai battu ». Les professeurs avaient accourus auprès de moi et j'avais été immédiatement emmener à l'infirmerie qui n'avait pas été utilisé depuis bien des années. On constata que mes jours n'étaient pas en danger et je me rétablissais au bout d'une semaine. Je ne le revis jamais plus, les règles étaient bien simples, pas de mort au sein de l'Académie et j'aurais pu y rester. Les journées reprirent leurs cours normaux, moi avec. Je continuais les cours de combat, toujours aussi douée. Libée était plus sur ses gardes maintenant, prêtes à bondir sur qui que ce soit s'il m'approchait de trop près. Je savais cependant l'apaisée. Libée dormait au pied de mon lit, parfois elle se posait derrière moi et me léchait le cou. Je l'aimais, c'était ma Libée, mon compagnon le plus fidèle. Celle qui ne me trahirait jamais.

À l'âge de vingt et un an, je sortais de l'académie, les diplômes en poche et la lune tatouée sur le coin de l'oeil. Je me dirigeais vers le ministère, le département d'Application de la loi. Je bossais chez les Protecteurs, me tuant à la tâche. J'y passais six ans, six ans à ne rien faire d'autre que travailler, je ne prenais pas le temps pour développer ma vie personnelle, laissant le travail prendre le dessus. Et puis un jour, j'en eus marre! Je décidais de tout quitter comme l'avait fait ma mère. J'entreprenais, avec l'argent gagné pendant ces six ans, de faire le tour du monde et de m'arrêter dans le pays qui me plairait le plus. J'avais passé quelques semaines dans toutes l'Amérique, mais ça ne me plaisait pas, alors je décidais de me rendre au Royaume-Uni, en Angleterre plus précisément!

III. INFOS SUPPLEMENTAIRES

Bois de la baguette : Hérable
Élément de la baguette : Nerf de coeur de dragon

Patronus : Léopard! C'est à cause de Libée!
Epouvantard : Un Orque géant. Lorsqu'elle était enfant, elle s'amusait sur la banquise près de l'eau, un orque a surgit de nul part et la tirait dans l'eau en attrapant son long manteau. Si les villageois n'avaient pas été présents, elle serait morte ce jour-là. Depuis elle en a très peur et c'est naturellement que les Epouvantards prennent cet forme là devant elle.

Signes particuliers (animagus, métamorphomage, cicatrices...) : Elle a une petite lune tatouée sur le côté de l'oeil!

Si vous êtes un élève, Maison souhaitée :
Vous êtes en qu'elle année ?


Personnalité sur votre avatar : Marion Cotillard