Chapitre 2 : Une rencontre dès plus bouleversante.
Personnages figurants: Le capitaine.
Point de vue: Omnicient, Hermione et Edward
Notre jeune Gryffondor sillonnait lentement le pont supérieur, elle longeait les longs corridors et les admirait lors de son passage. Elle cherchait sa cabine portant le numéro 123.
Au même moment dans la cabine numéro 125, le capitaine du navire, Mr Hotkins s’entretenait avec la famille Cullen.
- Je suis navré, nous n’avions pas de cabine pour quatre, vous pouvez toutefois rester à trois dans la chambre 127 et 125. La personne restante pourra loger dans un autre compartiment pour la durée du voyage, suggéra le commandant.
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Je me dévoue cela ne me dérange aucunement de changer de chambre, ajouta le jeune vampire.
- Edward, tu n’es pas obligé de… lança une voix masculine.
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Ne t’en fais pas Carlisle, je vais bien, tout se passera bien, coupa le grand brun.
Le reste de la famille affirma d’un signe de tête, le capitaine du paquebot indiqua le numéro de la chambre à Edward.
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PV Hermione
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Je n'en pouvais plus de marcher le long des corridors identiques les uns des autres, puis j'avais froid au pied, en me réveillant je n'avais plus de chaussures au pied. J'étais soulagé, je venais de trouver la pièce que je cherchais depuis un moment déjà. Je posais ma main sur la poignée de la porte et m'apprête à l'ouvrir. Mais une main se posa sur la mienne à ce contact je frémis de froideur. Ce n'était pas pour autant que j'aie enlevé ma main. Je relevais doucement ma tête et croise le regard noisette-doré d'un garçon qui me rappelait vaguement une personne.
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C’est impossible, il est mort lorsque j’avais 14 ans, je suis en plein rêve, il va falloir que je sors de ma somnolence, pensais-je.
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Je vous demande pardon. Pourriez-vous répéter votre phrase s’il vous plait ? me demanda le jeune homme interloqué.
Je ne comprenais pas vraiment, je n'avais prononcé aucune parole, serait-ce possible qu'il sache utilisé la légimencie ? Probable. Puis une sorte de flash me vient au visage, serait-ce un sorcier. Malgré mes réflexions les seules paroles que j'ai pu dire ont été.
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Qui vous a autorisé à lire mes pensées. Le jeune homme en face de moi passa de l'incompréhension à la surprise, il ne mit pas longtemps à se remettre de ses émotions.
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Comment ? Je vous demande pardon mais avez-vous bien dis lire dans vos pensées ? Reprit-il
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Oui je l'ai dit et je trouve cela très mal élevé. Dit-je d'une façon amer.
Un silence s'installait entre nous deux, je dévisageais le jeune homme, j'étais persuadé de rêver ou d'être à cet instant dans une quatrième dimension. Pendant ce temps le jeune homme me regardait également, se posant de multiples questions je suppose. Ils gardèrent leur conclusion hâtive pour eux.
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Qu'alliez-vous faire dans ma cabine, demandais-je.
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Votre cabine, je m'en vois désolé mais, cette cabine est la mienne. Lança le jeune homme.
C'est le capitaine lui-même qui m'a donné le numéro de cette cabine, renchérit-il.
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Très bien allons voir le capitaine mais, je suis persuadée que vous me menez en bateau.On commença notre marche sans parler une seule fois, nous avions pris le chemin du pont supérieur pour nous rendre là où se trouvais le poste de commandement et le cabine du commandant. Arrivé au début le second capitaine ne voulait pas me laisser passer mais, quand il vit la personne derrière moi, il avait pris la parole.
- Ah Monsieur Cullen dit-il d'un ton peu enthousiaste.
Cullen mais n'importe quoi son nom de famille à Cédric c'est Diggory, je ne comprends rien décidément.
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Elle est avec moi, nous voudrions nous entretenir avec le capitaine alors ayez l'obligeance de bien vouloir vous pousser du chemin.Le second capitaine se pousse légèrement pour nous laisser le passage libre d'accès. En nous voyant arriver le capitaine sera la main de ce « Cullen » et me fit un signe de tête. Il nous faisait signe pour que nous prenions place sur les deux chaises en face de son bureau. Je regardais du coin de l'oeil sa cabine, elle était très bien décorée.
- Alors, Edward que t'amène-t-il ? La cabine ne te convient pas ?
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Edward ? Vous rigolez là ? Je suis chez les fous ? Il s'appelle Cédric et non Edward et il est mort en .... Je venais de me rendre compte que je venais de parler à voix haute, je me lève avec précipitation et part en courant à travers les personnes et les chemins sur le paquebot.
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PV Edward
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Je vis la jeune fille partir en courant, ce qu'elle venait d'avouer sans s'en rendre compte m'intéressais fortement. Je me levais à mon tour, m'excusais auprès du Commandant du navire pour se dérangement et lui disais que j'arriverai à gérer moi-même le petit problème. Je sors du centre de commande d'un pas lent et bifurque à droite pour me rendre au pont inférieur qui permettait d'aller jusqu'aux hélices.
Je la vie de dos, ses cheveux flottaient dans l'air avec une grande légèreté. J'entendis un bruit sourd que je reconnais comme des pleures. Je me suis approché doucement, mais je m'efforçais de rester en retrait tout de même. Je m'apprêtais à dire quelques choses, mais je me stoppais dans mon élan en l'entendant se parler à elle-même.
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Je ne comprends pas, où sont passés Ron, Harry ? Pourquoi je me suis réveillé dans cette ruelle et pas dans mon lit ? Pourquoi tant de questions sans réponses ? Disait-elle.
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Peut-être parce que tu ne poses pas les bonnes questions. Elle se retourna doucement mais vraiment doucement et je pouvais voir son visage inondé de larmes, je ne sais pas pourquoi, mais mon coeur fit un bond en moi. Je m'approchais doucement d'elle, elle ne bougeait pas. Je finis par la prendre dans mes bras et elle éclata davantage en pleur. On resta comme cela une bonne vingtaine de minutes, puis par la fatigue et l'épuisement de ses pleures, je la vis fermer ses paupières.
Je l'avais pris dans mes bras et la porta jusqu'à la cabine 123, il était évident que ça serait ma chambre et la sienne. J'ouvris la porte de la cabine, en passant j'avais croisé Carlisle et Esmée qui m'avait regardé d'un oeil interrogateur et je leur avais fait comprendre plus tard. Je l'avais posé sur le lit dans un geste de tendresse et j'allais ensuite m'installer dans le fauteuil avec un bouquin à la main.
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Elle n’est pas humaine, je le ressens mais qu’est-elle réellement ? Pensais-je