Briséis Candice Ferguson - Finish

BRISEIS CANDICE FERGUSON

Briséis Candice Ferguson - Finish Brit2

dutschclue

" Je suis pas comme tout le monde donc je suis pas parfaite; mais je suis pas tout le monde donc je suis parfaite à ma façon "

I. IDENTITE

Nom :

Prénom(s) :

Surnoms (facultatif) :

Née le :

Lieu de Naissance :

Parents :

Frères & Soeurs :

Autres (enfants...) :

Situation familiale (célibataire, marié...) :

Maison à Poudlard (pour les adultes) :

Métier (pour les adultes) :

Groupe (ordre, mangemort ou neutre) :

III. INFOS SUPPLEMENTAIRES

Bois de la baguette :

Élément de la baguette :

Patronus :

Epouvantard :

Signes particuliers (animagus, métamorphomage, cicatrices...) :

Si vous êtes un élève, Maison souhaitée :

Vous êtes en qu'elle année ?

Personnalité sur votre avatar :

II. HISTOIRE

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© dutschclue

"L'enfance est le trou noir où l'on a été précipité par ses parents et d'où l'on doit sortir sans aucune aide."Thomas Bernhard

Ma vie ? Si je doit parler de ma vie je commencerais sans doute par un fameux evennement. Jusqu'à l’age de mes 10 je pensais que ma mère était ma mère et que mon père était mon père, jamais je n’aurais penser autrement d’autant plus que j’avais les cheveux blond de ma mère et les yeux pétillant de mon père. C’était un mardi 7 septembre, je m’en souviens encore, il ne fessait pas tellement beau, il devais être 21 heure et nous étions dans le salon, ma mère parlais de son travaille à l’hôpital avec mon père. Ils m’avaient dit d’aller me coucher, j’aurais dut y aller mais aller savoir ce qu’il se passait dans ma tête je me dirigeait a petit pas dans la chambre de mes parents. Je n’avais pas sommeil et je voulais dessiné … Après être rentré dans leur chambre et m’être dirigeait vers le bureau je cherchais desesperement une feuille blanche quand j’en fis tomber une, elle était plié et elle devais avoir était cacher. Je n’avais que 10 ans mais a la simple lecture de cette lettre je savait que ma vie n’était pas celle que je pensait, on m’avais mentit, et cela pendant toute mon enfance, ma vie n’avais était qu’un vaste mensonge, une comédie ou j’étais l’actrice principal. Les mots qui défilaient sur la lettre étaient comme un poignard qui venait se planter instantanément dans mon cœur. La lettre tombais à terre je ne bougeais plus, pétrifié, oui j’étais sous le choc. Je commençais à avoir chaud mes yeux me brûlaient, ma tête tournait, mon rythme se fessait rapide. C’est alors que je rangeais soigneusement la lettre qui venait de changer ma vie à jamais, l’arme qui m’avait tranché le cœur. C’est la tête sur mon oreiller que je déversais ce torrent de tristesse, cette bouffée de chagrin, la colère que je ressentais ne fessait que grandir, j’avais une envie de hurler, de tout casser ; peu banal pour une fille de 10 ans pourtant. Cette phrase tournait et tournait dans ma tête, elle me fonçait droit dedans et serait à jamais graver dans ma tête et je savait que le reste de ma vie tournerais sur cette seule et unique phrase : « Née de parents inconnues » avec l’écriture soulignais en gras et en majuscule « CERTIFICAT D’ADOPTION ». J’avais étais adopté. Sur le moment je culpabilisé un peu en me sentant égoïste, c’est vrais il y a pire comme problème dans la vie, mais la douleur était tellement profonde que cette culpabilité s’effacé en un instant. Mes parents ne m’avais rien dit et je leur en voulais énormément, ils ne voulaient sûrement ne pas me faire souffrir … mais le mal était fait on ne pouvais revenir en arrière. Je me maudissais intérieurement pour ne pas m’être couché directement, pourquoi, pourquoi avais-je ouvert ce satané bureau ?
Le matin qui suivit mes yeux était rouge et gonflé, je ressemblais à un véritable zombie quand je vins rejoindre mes parents. Après un moment de silence, pendant qu’ils buvaient leurs café matinal je leur avait balancé cela de but en blanc, sans hésitation, comme une question anodine : « J’ai était adopté ? ». A ce moment précis je sentais que ma mère allait défaîre et qu’elle allait tomber dans les pommes. La journée fut rude, mes parents m’expliquèrent qu’ils me désiraient tant, que ma mère n’avait pus avoir d’enfants et que même si je n’était pas née d’elle, j’était née dans leurs cœurs … Elle m’expliquât qu’elle ne savait pas qui était ma mère ou mon père. Et je vis que cela lui arrachât le cœur de dire « tes vraies parents ». Les semaines passèrent et je restais toujours muette repensant à tout cela, à ma vie. Mes parents se fessait du soucie je ne parler plus, manger très peu et ne dormais pas beaucoup. Mais un jour je pris la parole lors d’un repas. « Ne t’inquiète pas maman je sait qui sont mes vraies parent » avec un léger sourire au lèvres. Cette nuit la ma mère pleurât, de joie bien sure … elle me serrât tellement fort que je ne respirait plus.
L’année se passât relativement bien on ne parler plus de mon adoption, et l’ambiance était paisible jusqu'à un certain jour ou mes parents reçurent une lettre d’une école dénommée Poudlard. Je ne compris pas tout de suite ce qui se tramait, on m’avait juste annoncé que j’allais être dans une nouvelle école et que j’allais y vivre. Mes parents ne réagissait pas tellement bien a l’annonce de cette nouvelle, ils n’arrêtaient pas de parlait a voix basse et de me regardaient avec des regards étranges. Quand un jour avant de me couché mon père me prit dans ses bras en laissant échappé quelque mots : « Tu sait princesse, tu va bientôt partir dans une très jolie école, c’est une école qui n’est pas ouverte a tout le monde, elle n’accueille que les personnes … spécial, comme toi chérie ! Oui ma belle tu n’es pas quelqu’un d’ordinaire et cela est une très bonne chose, tu es amené à faire de très grande chose dans ton avenir. Je sais que tout cela n’est pas clair pour toi mais quoi qu’il en soit met toi en tête que nous t’aimerons toujours et cela quoi qu’ils en soit. Rend moi fier de toi Briséis d’accord ? » Et c’est sur ses mot que je me couchait. Le lendemain nous devions allaient chercher les fourniture scolaire et mes parents avaient un stress grandissant.
Ils étaient dans une sorte de rue où il y avait énormément de magasin, les gens étaient accoutumés de façon spéciale, on aurait dit qu’ils sortaient d’un dessin animé. Les gens se bousculaient, ils avaient même des hiboux, drôle d’idée … Je me rappelle de l’excitation que j’avais lorsque j’achetais mon propre hibou : Aixois. Nous étions rentré dans un magasin ou il y avais une infinité de petite boite et un homme n’arrêtait pas de me tendre des bout de bâtons. La dernière qu’il venais de me donné m’avais fais un effet bizarre une sorte d’alchimie entre ce bout de bâton et moi …

" La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix " Philipe Sollers

Mon arrivée à Poudlard fut un jour mémorable je ne savait rien de tout cela et je croyait que l’on me fessait une mauvaise blague, j’entendais un tas de personnes parlaient de « magie » et me demandaient si je n’était pas dingue, mais le pire je crois c’est quand j’ai dus foncer dans un mur … la je me suis dit que j’allais directement dans un hôpital psychiatrique. Quand on arrivât devant Poudlard la première réaction fus : « Un peut vieillot a mon goût mais pas mal ». Tous les élèves entrèrent dans la grande salle. Je ne comprit pas tellement ce qu’il se passé, je n’entendais qu’une multitude de noms que je ne connaissait pas, les jeunes gens s’avançaient et on leurs mettaient un chapeau sur la tête, un chapeau très étrange d’ailleurs. J’étais perdus dans mes pensée quand j’entendis mon nom, j’avais extrêmement peur je m’avançais timidement et m’assis sur le tabouret pour faire face a mes futurs camarade.
« Vue l’origine de tes parents il n’y a aucun doute sur ta maison : SERDAIGLE ! ». Je n’eu même pas le temps de demander quoi que ce soit sur l'on me poussa en direction d’une des 4 grandes tables. Le dîner fus horrible, j’entendais tout le monde parlais de sois disant « magie » et je me disait que la c’était sure je ne pouvais tomber plus bas.

5 ans plus tard.

Il était très tôt et je devais me préparer pour une nouvelle année à Poudlard. Je me regardais une dernière fois dans le miroir après avoir mis mes vêtements quand j’entendis une voix me tiré de ma contemplation. Je descendis doucement en voyant mes parents en train de préparer mes affaires. J’avais énormément changeais depuis ma rentrée à Poudlard, je ne voyais plus les sorcier comme des bêtes de foire mais comme mes confrères, mes amis, ma vie. J’étais devenue une jeune adolescente avec tout les points positif tel que le changement physique : mes cheveux avais poussée et ils étaient d’un blond satiné, mes yeux changer selon mon humeur : ils devenaient gris si j’étais contrarié et d’un bleu azur lorsque j’était heureuse. Mais il n’y avait pas que des points positifs à cette transformation, comme chaque adolescente j’avais un caractère bien trempé. D’ailleurs mes parents étaient les premiers a le voir je n’était pas des plus tendre avec eux, d’ailleurs tout les étés ne se passent pas sans que je ne leur balance des pics en leur fessant rappelé que je ne suis pas leur fille et qu’ils n’ont aucune emprise sur moi …. C’est moche je sait mais c’est ma coquille, ma protection car je ne peut plus m’attacher à eux, mes vraies parents m’ont abandonner et si je m’attache et qu’ils m’abandonne aussi je ne survivrais pas …
Cette année à Poudlard ne sera pas comme les autres, je le sait je le sent. Une guerre se prépare et cela n’apporte rien de bon, c’est pour cela que je préfère restait neutre et ne pas parler de ce genre de chose. De toutes facon tout les sujets qui portent a cette fameuse guerre sont tabou, en tout cas dans mon entourage, j’espère seulement que la guerre ne se déclarera pas tout de suite …