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| | De drôle de retrouvailles. |  |
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Louise Many
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| Sujet: De drôle de retrouvailles.  Octobre 9th 2010, 19:36 | |
| Il y a quelques heures à peine, Louise Many venait de recevoir un hibou qui lui apportait une lettre très importante. Elle hésita à l’ouvrir, sur le dessus de la lettre, il était écrit : Privé. Elle décolla le côté et sorti la lettre de son enveloppe, c’était écrit à la main. Louise lu la lettre en diagonale et s’arrêta sur ces quelques mots :
Chère Melle Many,
J’ai le plaisir de vous compter parmis les membres des Aurors. Vous avez brillamment réussit votre examen. Toutes mes félicitations.
Mr Odkins.
Elle n’en croyait pas ses yeux, elle était devenue une Auror… Elle laissa pousser un énorme cri de joie et décida d’aller faire du shoping à Pré au Lard pour fêter l’événement. Arrivée là-bas, la jeune femme s'arrêta au marchand de livre. C’était un endroit magnifique, les étagères étaient remplies à craquer de livre et de bouquins en tout genre. De la magie noire à la magie blanche, en passant par les sortilèges et les enchantements, les armoires regorgent d’œuvres d’arts. Louise voulait le bouquin sur les Aurors, celui tout en haut…forcément ! C’était un livre sur comment devenir un bon Auror, des trucs et astuces pour bien apprendre son métier. Louise demanda à une vendeuse de lui prêter une échelle pour qu’elle puisse accéder au rayon des Aurors. Elle installa l’échelle et grimpa dessus, arrivé en haut, elle dépoussiéra le livre et regarda de quoi il était fait. Il y avait beaucoup d’images qui bougent, des sortilèges...la magie a vraiment des bons côté.
Perché sur son échelle, Louise regarda autour d’elle pour voir si elle pouvait descendre.
* Oh non c’est pas vrai * Elle venait d’apercevoir Théodore, un vieil ami à elle. * Oh non, ooooh non, j’espère qu’il ne m’a pas vu ! * Louise venait de s’accroupir sur son échelle (Allez savoir pourquoi !), elle ne voulait surtout qu’il la voit. Depuis ce qu’il c’est passé, il ne voulait plus parler …
Je vais vous expliquer pourquoi :
Théodore et Louise se connaissent depuis leur plus tendre enfance, c’était des copains de bac à sable, des copains de balançoire. Jamais l’un sans l’autre, ils avaient une entière confiance en l’autre. Même si il ne venait pas du même monde, ils avaient fait les 400 coups ensemble, rien ne pouvez les séparer. Rien ? Pas tout à fait. Le papa de Thèodore est mangemort…alors quand il a appris que Louise voulait passer le concours pour devenir Auror. Ce fut la fin d’une belle amitié.
Louise n’osait pas bouger de son échelle, elle était là, accroupie en haut de son échelle. La jeune femme ne pouvait pas rester comme ça longtemps, elle tenait sur la pointe des pieds, accrochés à la barre, le livre en main.
* BOUMMM ! *
A trop se pencher en arrière pour ne pas être visite, Louise était tombée de son échelle…pas très malin ! Tout le monde se retourna vers elle, un jeune homme accourra pour l’aider à se relever. Elle en était sur maintenant, il ne l’avait pas reconnu, en même temps, Louise avait dut bien changer en 4 ans…
Thèodore l’aida à se révéler, Louise lui fit un grand sourire, elle était obligé de dire quelque chose :
« Salut Thèodore, tu me reconnais ? … »
Dernière édition par Louise Many le Octobre 11th 2010, 19:49, édité 1 fois | |
| | | | Théodore B. Nott
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 11th 2010, 10:11 | |
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♠ LOUISE &’ THÉODORE
« De drôles de retrouvailles. »L’ enfance à ce besoin, cette idée que l’ on se sente invincible et que chaque chose qui y touche soit incassables. Ces illusions sont éphémères, mais tellement agréable à sentir lorsqu’ on est âgé de quatre comme de huit ans qu’ elle sont précieuses, qu’ on voudrait qu’ elle ne se terminent jamais. La réalité aidant, ces illusions volent pourtant en éclat, se dispersent comme les morceaux d’ un verre de cristal brisé. Cette trahison, Théodore ne pouvait pas l’ oublier. Il se revoyait parfois encore gamin, se hissant du haut de ses quatre ans à jouer avec une fille ayant deux fois son âge alors. Il avait des visions de sa fierté de gosse, sentiment provoqué par l’ idée de jouer avec une grande. Cette illusion pourtant avait disparue. Elle avait décidé de rejoindre le camp des adorateurs de Moldus, le camp des répugnants tandis que lui avait suivi la voix qu’ on lui destinait depuis son enfance et dont il ne cherchait pas à se plaindre. Il deviendrait Mangemort alors qu’ elle était Auror. Les illusions n’ existaient plus, et ce qu’ ils voyaient enfant comme incapable de se briser avait fini par se rompre. Ils avaient grandi, ils n’ étaient plus des gosses. Et les choses devaient aller pour le mieux ainsi. Il ne savait pas pourtant pourquoi aujourd’ hui plus qu’ un autre jour, il pensait à la traitresse, alors qu’ il errait sans aucun but dans les ruelles de Pré au Lard. Les sorties avaient beau se faire rares, elle n’ en était pas moins inintéressantes de son point de vue et il se mordit la lèvre à l’ idée de n’ être pas resté à la Bibliothèque plutôt que de suivre le troupeau d’ élèves comme un fidele petit chien. Il soupira, continuant sa route sans jamais chercher à se joindre à un groupe quelconque. Il finit par se retrouver devant l’ allée menant à la Cabane Hurlante, souriant vaguement avant de faire demi tour, plus par désintéressement total que pour une autre raison. S’ il avait un temps soit peu levé les yeux vers le village, il aurait aperçu une jeune femme essayant de se cacher pour ne pas le voir, mais il ne s’ intéressait qu’ aux traces que ces pas faisaient sur le sol qu' il espérait bientôt voir couvert de neige. Il fut pourtant sorti de sa torpeur par un bruit de choc pas le moins du monde étouffé par la fine couche de matière blanchie et brillante puisqu' elle n' existait encore que dans les pensées de Théodore. Il se retourna brutalement, regardant la personnes tombée au sol et étrangement, malgré son attitude méprisante envers les autres, il se rappela que Pré au Lard ne contenait que des Sorciers et quelques chose le poussa vers la jeune femme au sol. Se précipitant vers elle, il lui tendit la main pour l’ aider à se relever et se figea ensuite en fixant son regard dans celui de la jeune femme. Jamais, non jamais il n’ aurait pu oublier ce regard quand bien même il l’ aurait aperçu pour la dernière fois quatre ans auparavant. Il se recula brusquement en observant la personne en face de lui et soudainement lança avec une sorte de surprise presque malsaine dans la voix :
« Ce pourrait être une question bien stupide si elle n' était pas posée par ta personne… On ne peut pas réussir à changer un regard à moins d' être métamorphomage, et tu ne l' es pas. » Il se retourna soudainement, mal à l‘ aise de se trouver en la présence de celle qui l‘ avait trahi des années auparavant alors qu’ il avait douze ou treize ans et, se disant qu‘ elle devait aller mieux maintenant et qu‘ elle aurait été bien stupide d’ avoir mal d’ une chute si simple en étant Auror, il continua sa marche errante sans attendre de savoir si elle allait ajouter quelques chose… | |
| | | | Louise Many
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 11th 2010, 21:58 | |
| « Ce pourrait être une question bien stupide si elle n' était pas posée par ta personne… On ne peut pas réussir à changer un regard à moins d' être métamorphomage, et tu ne l' es pas. »
Louise ne savait pas comment interpréter cette phrase, sortit de la bouche d'un jeune homme qui avait était tellement adorable auparavant, si gentils, si attentionné ... En repensant à cette époque et peut être aussi avec la chute, Louise laissa couler une larme sur sa joue. Bon d'accord elle s'était cassé la cheville, mais elle n'avait pas mal au point de pleurer. La jeune fille repensait à leur amitié et à son passé. Louise n'avait jamais connue sa famille, sa famille adoptive ne lui accordait aucune attention, personne ne lui parlait. Elle aimait se réfugier dans ce petit parc avec des jeux pour enfants, des balançoires, des fleurs, une très belle fontaine, des gens aimable. Louise aimait se confier à Thèo, il savait tout d'elle. Depuis, elle n'avait jamais retrouvé quelqu'un comme lui, une relation aussi fusionnelle.
Elle regarda s'éloigner son ami d'enfance, le seul qui la comprenait vraiment, elle ne pu s'empêcher de lui attraper le bras et lui dit avec une grande émotion:
« Je sais que tu ne veux plus me parler, mais je t'en supplie écoute moi, au moins une dernière fois... »
Louise ne savait plus interpréter le regard du jeune homme, il avait bien changer en si peu de temps. Elle ne pouvait pas dire si il l'écoutait ou pas, elle continua :
« Ecoute, je sais que tu m'en veux pour ce que j'ai fait mais si j'ai fait ça, c'est pour retrouver mes parents...Je ne l'ai ai jamais connus et j'aimerai plus que tout les retrouver. Je ne sais pas ce que c'est d'avoir une famille, une vrai famille. Je t'en prie, essaye de me comprendre... On a tellement de chose en commun, on a pleins de souvenirs tous deux! Tu ne peux pas oublier tout ce qu'on a vécus ensemble. Dit moi je n'ai vraiment aucune chance de me faire pardonner? Je ferai n'importe quoi pour qu'on se reparle, qu'on rigole de nouveau ensemble. Ça me manque tout ça, pas toi ...? »
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| | | | Théodore B. Nott
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 25th 2010, 07:23 | |
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« De drôles de retrouvailles. » Se retrouver soudainement en face d’ elle, à ce moment précis lui rappela qu’ il avait pensé à elle à un moment quelconque de la journée et il chassa cette pensée avec une moue légère des lèvres. Il avait déjà tourné le dos, mal à l’ aise sans savoir pourquoi leur relation avait tellement changé. Bien sur, c’ était à cause d’ elle, bien sur elle avait choisi le rang d’ adorateurs de moldus auquel Théodore ne s’ abaisserait jamais même si sa vie en dépendait. Bien sur, elle avait choisi de devenir Auror, ce n’ était pas par obligation qu’ elle avait choisi cette voix. Et il se repassait en boucle mentalement leur dernière rencontre. Avait il été froid, ou bien avait il conservé cette impassibilité parfaite qui faisait qu’ il était un Nott, ce sentiment qui faisait qu’ il prenait une attitude réservée pour renfermer la douleur ? Il ne pouvait pas exister de troisième solution, il n’ avait sans doute pas à l’ époque supplier son amie de ne pas faire cela, la fierté aidant sans doute. Il secoua la tete, repoussa à nouveau ses songes pour l’ écouter parler. Une sorte de rage lui saisi alors les tripes, et il ce fut sans se retourner qu’ il s’ arrangea pour crier sur la jeune femme :
« Parce qu’ il faut devenir Auror pour engager un détective privé, maintenant ! Ah elle est belle l’ Angleterre magique avec ses moyens d’ imbécile pour préserver ses sales petits moldus ! C’ est quoi la prochaine étape, s’ engager chez eux pour avoir un logement ?! »
Eux désignait les Aurors, et Théodore avait appuyé sur ce thermes avec un mépris assez fort. Il fit volte face, se mordant les lèvres face à Louise. S‘ il crachait volontiers sur les Aurors au point que certains devaient avoir les oreilles sifflantes, c‘ était elle qu‘ il détestait sans doute le plus parce qu‘ autrefois, elle avait été son amie et qu‘ il devait à chaque fois qu‘ il pensait à elle chasser l‘ idée qu‘ il espérait que leur duo d‘ autrefois puisse se refaire. Théodore se rappela ce jour d‘ été ou il était rentré au Manoir, l‘ année ou Louise avait choisi de vivre sa voie et qu‘ il avait regardé les flammes engloutir les photos ou elle était avec lui et que Richard lançait dans le feu de la cheminée. Il était toujours impassible, et ce jour la il l‘ avait été plus qu‘ un autre. Qu‘ aurait il au fond fait, si son père en s‘ apercevant d‘ une quelconque émotion lui avait hurlé à la face qu‘ il pouvait la rejoindre s‘ il le voulait ? Mais non, il ne le voulait pas. Il ne le voudrait jamais.
L‘ effarement cependant de Louise l‘ avait surpris, et il se prit à penser qu‘ il avait peut être été répugnant. Il ferma les yeux, secoua la tête et rouvrit les paupières pour la regarder à nouveau. Que pouvait il lui dire ? Les moments ensemble lui manquaient aussi, mais tout était ruiné maintenant. C‘ était ainsi, cela avait été une période éphémère et il avait disparu comme les photos communes dans les flammes de la cheminée du Manoir Nott. Il se repris, mordit la lèvre avant de prendre une voix qu’ il voulait neutre et plus calme que précédemment pour répondre à l' Auror en face de lui, se préparant déjà à lui tourner une nouvelle fois le dos :
« Je… Écoutes, ce n’ est pas possible, ce n’ est plus possible. Je comprends pour tes parents, mais on doit s’ oublier mutuellement maintenant. Bonne chance pour retrouver ta famille, Louise. »
[ Désolée pour le temps de réponse =S ] | |
| | | | Louise Many
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 26th 2010, 20:01 | |
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« Je… Écoutes, ce n’est pas possible, ce n’est plus possible. Je comprends pour tes parents, mais on doit s’oublier mutuellement maintenant. Bonne chance pour retrouver ta famille, Louise. »
Rhaaaaaaaaaa, il avait le don d’énerver Louise, avec ses airs de bon enfant, tout sage. Cette fois-ci c’était la bonne, ils n’allaient plus du tout se parler. Le jeune homme laissa Louise seule et tourna les talons. Elle était vraiment énervée, comment avait-il osé lui parler ainsi. Ok elle était devenue Auror, mais ce n’était pas une raison pour lui parler comme un chien. Louise sentait la colère monté en elle, il lui tourné le dos et en plus il avait était insolent, c’était de trop. Elle le suivit, pour ne pas faire de scandale devant tout le monde, et lui dit :
« Et, pour qui tu te prends pour me parler comme ça, t’as quelque chose contre moi ? Bah vient on va le régler. Je suis peut-être une Auror, mais je ne suis pas une mauviette. »
Louise courra sur Théo et le fit transplanter en pleine campagne, l’endroit était désert. Mais ce n’était pas un problème, le jeune homme devait être habitué à force. Louise est très impulsive et capricieuse. Louise brandit sa baguette sur Théo, la tension était palpable. Elle répliqua :
« Si je perds je te laisse tranquil, tu n’entendras plus jamais parler de moi. Mais si je gagne, tu me laisses une seconde chance. Tu te sent prêts à relever le défi ? »
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| | | | Théodore B. Nott
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 27th 2010, 13:44 | |
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♠ LOUISE &’ THÉODORE
« De drôles de retrouvailles. » Le jeune Nott ferma les yeux lorsqu’ elle lui hurla dessus et stoppa un sourire moqueur qui allait se fondre sur ses lèvres. Il se retourna, la regardant avec indifférence, ni méchamment, ni avec pitié ou aucun sentiment que ce soit. Son regard semblait vidée de toute émotion, impénétrable et fixé sur un point quelconque, quelque chose situé derrière Louise comme si elle était transparente. Mais elle ne l’ était pas, et pour preuve elle l’ avait fait transplané au beau milieu d’ une rase campagne. Nullement surpris, comme s’ il s’ y était attendu, Théodore se plaça face à celle qu’ il voyait désormais comme son ancienne amie, la regardant non plus avec indifférence mais avec l’ air presque insolent et angélique qu’ il avait souvent utilisé durant son enfance et qui, enterré depuis plusieurs années, était subitement réapparu sur son visage. Il ferma les yeux, les rouvrit et se passa la main dans les cheveux en soupirant.
« Louise, Louise, Louise… Si tu n’ as pas encore compris que j’ avais eu quelque chose contre toi des le jour ou tu as été des leurs, je doute de te faire comprendre cela aujourd’ hui plus qu’ autrefois. »
Et pourtant, il se sentait troublé en sa présence… Elle lui faisait quoi la ? A quoi cela lui servait-il de tout faire pour récupérer comme ami la pourriture qu’ il considérait comme étant devenu ? Il n’ en valait pas la peine, il ne considérait pas qu’ il était quelque chose de particulièrement précieux. Il ne put à cette pensée s’ empêcher de soupirer à nouveau, ne la regardant plus en face et se contentant de lever les yeux au ciel avant de les poser à nouveau sur elle.
« Tres bien, allons-y puisque tu le souhaites. Mais dis moi juste une chose, une seule et nous pourrons commencer... »
Théodore se concentra à nouveau sur la jeune Auror, le souffle légèrement coupé à l’ idée de ce qu’ il allait demander - et surtout, à l’ idée de ce qu’ elle pouvait bien répondre. Il prit pourtant une respiration, ferma les yeux pour se décontracter et finit par se lancer, fixant Louise droit dans les yeux afin de percer tout émotion qui s’ y montrerait quand il parlerait :
« Pourquoi tu fais cela ? Ce n’ est pas pour moi, tu sais très bien que je n’ en vaux pas la peine, alors quel intérêt trouve tu à vouloir que tout redevienne comme avant ? »
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| | | | Louise Many
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 28th 2010, 18:00 | |
| Louise était là, baguette tendu sur son ancien ami. La situation était assez complexe, personne n’aurait pu la prédire. Depuis qu'elle était devenue une Auror, nombreux sont ses amis qui l'avaient laissé tombé. Ce n'était pas tellement grave, mais venant de lui, cela lui faisait vraiment mal. Louise voyait bien que le jeune homme en avait marre de la situation Il lui dit alors :
« Pourquoi tu fais cela ? Ce n’est pas pour moi, tu sais très bien que je n’en vaux pas la peine, alors quel intérêt trouve tu à vouloir que tout redevienne comme avant ? »
Comme-ci il ne savait pas pourquoi elle faisait tout ça ! La pluie avait gagné la campagne, Louise soupira et répondit calmement :
« Arrêtes, tu sais que je tiens à toi, j’ai du mal à vivre sans toi. Tu étais tout pour moi, je veux retrouver cette complicité ! Mince, on est au dessus de ça ! »
Louise regardait son ami dans les yeux, l’ambiance était palpable. Elle savait bien que ce n’était pas en lui parlant comme ça, qu’il allait changer d’avis. Il fallait bien qu'elle agisse, ce serait vraiment trop dur de le perdre aussi facilement. C'était un sentiment que la jeune fille n'avait pas souvent ressenti : un mélange de haine, de tristesse... La pluie grondait de plus en plus fort. Elle lança alors :
« AHHHHH! Tu m'énerves! Sectumsempra » | |
| | | | Théodore B. Nott
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Octobre 29th 2010, 19:46 | |
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♠ LOUISE &’ THÉODORE
« De drôles de retrouvailles. » Génial. Et en plus, il venait de commencer à se mettre à pleuvoir, tu parles d’ une tuile ! S’ il réussissait à en sortir vivant - connaissant l’ impulsivité de son ancienne amie, elle pouvait très bien le tuer sur un coup de tête énervée comme elle l’ était - ce serait sans doute trempé qu’ il transplanterait à Pré au Lard - et encore, c’ était une chance que Richard ai commencé à lui apprendre cela avant d’ aller en prison et qu‘ il soit majeur depuis quelques jours, sinon cela lui aurait fait une belle jambe. Enfin, pour l’ instant il n’ était même pas sur de pouvoir sortir intact de son combat avec Louise, alors autant ne pas trop s’ avancer songea le jeune homme en fixant son regard dans celui de l’ Auror sans ciller. Il aimait trop regarder les gens dans les yeux pour cela.
« Mais tu est complètement folle de vouloir cela ! Tu ne te rends pas compte Louise, je veux être MANGEMORT ! C‘ est trop compliqué à retenir cela, je vais devenir l‘ ennemi des tiens, et tu pourrais très bien me tuer comme je pourrais le faire ! Tu ne peut pas comprendre que je ne veux plus qu‘ on se voit, que tout est fini… »
Il se fichait bien de tout ce qu‘ il pouvait dire ici même. Ils étaient en rase campagne et même s‘ il hurlait, elle était le seul témoin de ses paroles. Mais il se tut car il n’ eut pas le temps d’ en dire plus ; elle lui avait déjà lancé un sort qu’ il ne connaissait pas, et cela ne l’ agaça pourtant pas, au point qu‘ il ne fit même rien pour se défendre. Alors aussitôt, à peine été il touché par le sort qu’ il eut l’ impression qu’ un lame invisible lui tranchait le chair au niveau du visage, de la poitrine et il fut projeté sous le coup du choc à un ou deux mètres de l’ endroit ou il était auparavant. Il ferma les yeux, porta sa main au niveau du torse pour tenter de s’ arracher la chemise mais il n’ en eut ni la force, ni l’ envie. Il laissa retomber ses doigts au niveau du nombril en essayant de s’ arracher un sourire. Il n’ aurait jamais imaginé mourir comme cela, en se vidant peu à peu de son sang. Et pourtant il n’ était pas surpris, il ne réussissait jamais ou presque à l’ être. Non, il ressentait simplement une émotion étrange, une sorte de sérénité alors qu’ il n’ aurait jamais pensé qu’ il aurait pu ressentir cela en mourant. Il s’ était toujours fichu de la façon dont il allait mourir, qu’ elle qu’ elle puisse être. C’ était donc cela alors qu’ il avait choisi de ressentir alors qu’ il se vidant de son sang ? Un soulagement, une sorte de sérénité à l’ idée d’ en finir ? Alors dans ce cas, tant qu’ il se sentait bien, tellement bien qu' il n' avait même pas l' envie ou la force de demander à Louise de l' aider, les choses allaient sans doute pour le mieux….
[ Désolé, post foireux --' Je savais pas trop quoi mettre :S
Je ferais mieux au prochain promis (; ] | |
| | | | Louise Many
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| | Sujet: Re: De drôle de retrouvailles. Novembre 6th 2010, 23:00 | |
| La pluie devenait de plus en plus forte, les sentiments de Louise reflétaient un peu le temps qu’il faisait. Le vert si charmant de la campagne s’était soudain transformé en un gris maussade. Il fallait que Louise le fasse réagir, mais de là à le tuer ? Non, ce n’est pas le genre de la jeune fille. Ok, parfois elle peut surprendre par son agressivité, son impulsivité et sa colère, mais ce n’était pas une tueuse.
Elle venait de lancer le sort, il était trop tard, trop tard pour faire retourner en arrière. Louise le savait bien, elle avait du mal à contrôler sa colère, la colère la contrôlé. Sur le moment, la jeune fille ne réalisait pas ce qu’elle venait de faire : lancer un sortilège qui peut entrainer la mort à l’un de ses amis ! Bravo Louise, c’est sur qu’avec ça, il voudra revenir vers toi !
L’image était terrifiante, son ami, là, allongé par terre, il souriait. Louise était complètement paniquée, elle ne voulait pas tuer un ami et encore moins Théo. Elle courra prés de lui, elle était en larme et lança :
Vulnera Sanentur
Tout le sang de son ami disparu dans son corps, il revenait à la vie. Jamais Louise n’avait ressenti une telle honte, elle lui demanda pardon, tout en ignorant de savoir si il allait mieux ou pas, et tourna ses talons en direction de la forêt …
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