Moqueries? [ft. Tom]

Je sortais de la boutique de Fred & George. Leur boutique était vraiment merveilleuse, presque autant qu'un des vendeurs ♥... Non sérieusement, à un moment donné, j'aurais juré voir Tom par la fenêtre du magasin, j'espérais ne pas le croiser, lui -si c'était bien lui- nous ayant vu à un moment, où il n'aurait pas du nous voir...(Non, il n'y a pas de sous entendu).
Je marchais dans les rues, lorsque je vit une touffe de cheveux familière pour y avoir souvent enfoui mes mains : Tom.
Je décidais de passer mon chemin. Je savais qu'il allait me faire une reflexion hasardeuse. Il se doutait que j'avais des sentiments pour George, et c'est en partie pour ça que nous avions arrêter notre relation. Amoureuse, du moins.
Mais au moment où j'allais tourner dans un autre rue, j'entendis quelqu'un appelé mon nom. Youpi. La perite : "c'est moi qui avait raison", n'allait pas tarder à arriver.
J'hésitais avant de me retourner, mais finalement le fit, et alla en direction de Tom. Je n'allais pas lui faire le plaisirs de parler la première...

Personne ne voulait être de corvée, c'est normal, on passe pour le petit Toutou de service. Une seule personne pouvait le faire et cette personne c'était ce malheureux Tom. Chaques services qu'on lui demandait, il ne le refusait jamais car il voulait se faire bien voir de ses camarades. Sauf qu'aujourd'hui Drago Malefoy l'envoyait dans l'allée des embrumes pour chercher un paquet à un certain "Finn". Si seulement Tom avait refusé ce job, ça lui aurait évite de s'attirer des ennuies avec toutes les personnes les plus machiavéliques de ce lieu. L'allée des embrumes, un endroit que le jeune garçon n'aimait pas fréquenter. Il le trouvait particulièrement angoissant, les murs et les maisons des ruelles sont noirs, très noirs. Les passants qui y traînent ne sont pas de confiance et nous regardent comme si le diable leur avait jeté un mauvais sort. C'est pour cela que Tom n'aimait pas y traîner, il avait entendu tellement de rumeurs que le fait d'y repenser lui flanquait la cher de poule.
Tom se retrouva dans le chemin de traverse, l'endroit le plus merveilleux du monde des sorciers. Il avança lentement en regardant attentivement les magasins qui offraient plein de merveilles. Il y vit "Ollivander" le vendeur de baguette. Tom avait acheté sa baguette à cet endroit (comme la plupart des sorciers). A l'époque, il se souvenu que le vendeur lui avait une fait remarque lorsque sa baguette l'avait choisit, "si cette baguette t'as choisis, elle ne devrait pas te laisser beaucoup de choix". C'est vrai que cette baguette ne l'avait pas souvent aidée, quelques fois lorsqu'il voulait lancer un sort, il se retournait contre lui sans aucune raison.

En repensant à ça Tom s'aperçut qu'il était presque en retard. Le jeune homme accéléra la marche pour rejoindre au plus vite l'allée des embrumes. Au bout d'un moment le serpentard eut un moment d'hésitation. Pourquoi faire plaisir à Malefoy ? après tout il n'est pas obliger de rendre ce service. En plus, il était persuadé que l'objet n'était pas destiné à faire le bien, même si cette idée lui plaisait. Après plusieurs réfléxion le jeune homme s'élanca dans la première ruelle qui était probablement la plus sombre. Il croisa le regard de plusieurs personnes tout aussi diabolique les unes que les autres. Le garçon eut quelques frissons dans le cou qui s'éstompaient lorsque la lumière du soleil revenait. Au bout de la ruelle, Tom ne vit personne. Et si Malefoy voulait lui faire un farce ?
Tom secoua la tête en se disant que ce n'était pas possible, Malefoy, son ami ne pourrait jamais lui faire de mal.
Quelques minutes plus tard, le blondinet aperçu une ombre. Il s'avança, sortit sa baguette avec peur et la pointa vers l'ombre.

Inconnu : Hey ! Gamin que fais tu ici !

Tom se retournit et hurla de peur. Il avait un grand monsieur qui se tenait devant lui, qui portait un long manteau de fourrure noir et un grand chapeau (à la Walker Texas Ranger xD).

Tom : Vous m'avez fais peur imbécile ! Je suis ici pour récupérer quelque chose. Est-ce que vous connaissez un certain "Finn" ?

Tom regarda avec attention le mystérieuse inconnu jusqu'à ce qu'il reléve son identité :

Inconnu : Tu l'as devant toi.
Tom : Drago Malefoy m'envoie ici pour chercher un paquet, vous pouvez me le donner ?
Finn : Bien entendu mais surtout ne l'ouvre pas.
Tom D'accord pas de problème, aurevoir
Finn : Aurevoir, c'est ça , bonne chance surtout !

Le serpentard partit en courant en direction du chemin de traverse. Pour tout vous dire, cette rencontre avec Finn lui avait fait très peur, il sentait déjà ses jambes le lâcher. Après quelques minutes de course, Tom arriva dans l'allée principal du chemin de travers, plus précisément devant le magasin de Fred et George Weasley. Le blondinet se souvenait très bien du jour où il était venu ici. C'était pour acheter de la "poudre d'obscurité instantanée du Pérou", pour faire peur à Rusard lorsqu'il s'endormait sur sa chaise.
Tom voulait absolument savoir ce qu'il y avait dans ce paquet. Après tout, il pouvait bien expliquer à Malefoy qu'il voulait regarder et que de toute façon s'était lui qui était venu le chercher. Le garçon commença à déballer le paquet quand soudain un visage familier lui sauta aux yeux. Il regarda, attentivement et cru aperçevoir Léa Waldorf de Serpentard. A vrai dire il en était presque sûr, il s'empressa de crier son prénom :

Tom : Léa !

Après m'être approché de lui. J'attendis qu'il prenne la parole. Ce qu'il ne fit pas. Je le regardais dans les yeux, d'un regard qui voulait dire "qu'est-ce qu'il y a? Tu as vu un fantôme?" Non que les fantômes soient rares à Poudlard, mais c'est une expression moldu très utilisé.
Je savais très bien de quoi il voulait parler. Alors bon. Dommage pour lui, moi, je ne voulais pas en parler. Puis, je remarquais le paquet à moitié déballer qu'il tenait dans la main. Je regardais l'objet avec suspicion et fit un coup de tête en sa direction. Que cachait-il encore?

Je pris l'objet de ses mains, il essaya de le reprendre, mais je ne le laissais pas faire. J'ouvris le paquet, et vit un objets moche, noir et gluant dans le paquet. Je rendis le paquet ouvert à Tom et lui dit :

-Tu as raison, garde le...

Puis, je me souvins pourquoi j'étais venu. Il m'avait appelé. Je lui demandais alors :

-Pourquoi tu m'as appelé?

Je savais très bien pourquoi il m'avait appelé, mais je trouvais ça drôle de demander...