Sous le poids des Livres [FE Aena]

Par cette belle journée ensoléillée, Mary-Alice avait décidé de fausser compagnie à sa mère pour une journée Shopping du côté Sorcier. La brunette avait donc laissé un mot à sa mère avant de prendre le taxi Moldu qui la déposa à Londres où elle rejoignit rapidement le domaine des Sorciers. là-bas, elle rentra dans le Chaudron Baveur, et franchit alor le mur qui la séparait du Chemin de Traverse où bon nombre de Sorciers faisaient aussi leurs achats. C'est donc avec un léger sourire aux lèvres que la jeune fille flâna alors sur la rue principale du Chemin de Traverse, en direction de la librairie.

Car, si la rentrée à Poudlard n'allait pas tarder, Mary-Alice avait omis d'acheter ses livres de cours pour sa nouvelle année. Résultat: elle devait maintenant se rendre chez Fleury&Botts, où elle était sûre et certaine de trouver tout ce qu'il lui f audrait. C'est donc en faisant tinter la clochette de la porte d'entrée que lilice fit son entrée dans la boutique.

Elle se fraya alors un chemin jusqu'au rayon des cours et prit tout les livres qu'il lui fallait, soupirant en voyant parfois certains titre, comme celui du livre du cours de Potions par exemple.

C'est donc avec une immense pile de livre dans les bras que Mary-Alice avança jusqu'au comptoir, évitant de bousculer les personnes qu'elle distinguait. Et quel fût son soulagement lorsqu'elle posa ses livres sur le comptoir... Où le vendeur était absent... C'est donc dans un soupir qu'Alice se tourna vers la porte d'entrée, croisant les bras sur sa poitrine et s'adossant au comptoir, attendant impatiemment que le vendeur ne revienne...

Les dernières courses avant la rentrée. Une jeune fille déambulait nonchalamment dans le Chemin de Traverse. Elle s'arrêta dans un premier temps chez Madame Guipure le prêt-à-porter pour se faire faire de nouvelle robe de sorcier au couleur de sa superbe maison, Serpentard. Elle entra donc dans la boutique, se fit mesurer de partout & ressortit le temps que ses robes se fassent. La demoiselle repasserait plus tard. Dans un deuxième temps elle alla acheté ses fournitures de potions dans le magasin d'à coté. Une fois toute ses petites emplettes faites, elle alla chez Fleury & Bott le magasin de vieux bouquins poussiéreux.

Julie — Nana !!

Nana ? un gentil petit surnom pour une certaine Aena Imoen n'est-ce pas ? Sauf que cette dernière ne voulait pas parler à l'autre fille : Jullie une Serdaigle qui lui faisait ses devoirs de temps en temps. Donc la Verte et Argent passa son chemin sans faire attention à elle. Heusement Julie savait que si Nana ne lui répondait pas, alors elle ne devait pas essayer de lui parler. Aena fut donc vite débarrasser de la Serdaigle et elle entra dans la boutique. Aena se dirigea tout d'abord vers les livres de cours, pour s'en débarrasser. Quel gachit tout de même, dépenser des sous pour des livres tel que celui de botanique ou encore celui de métamorphose. Mais elle n'avait pas le choix. Une fois ces livres prient, la métamorphomage alla dans un rayon bien plus intéressant. Celui des livres pour le plaisir.

Après 10 minutes et 5 livres de plus, Aena alla à la caisse pour régler, mais le vendeur n'était pas là.

Une silhouette fit donc son apparition dans l'ombre et Mary-Alice fût soulagée. Voilà que le Vendeur faisait son arrivée! C'est donc avec un sourire qu'Alice posa une main sur ses bouquins, alors que la silhouette approchait. Mais plus la silhouette se rapprochait de Lilice et plus son sourire disparaissait...

Car la silhouette n'avait rien d'une silhouette masculine mais avait plutôt les traits d'une silhouette féminine. Puis plus la silhouette avançait, plus Mary pouvait reconnaître une élève de sa maison et de son année... En fait, devant elle se trouvait sa pire ennemi Aena Imoen. Soupirant alors, Alice tourna le dos à son ennemie, essayant de retenir toutes les injures qui lui venaient à l'esprit à l'instant précis.

En fait, les deux jeune filles se détestaient depuis leur premières années à Poudlard... Depuis le jour où Mary-Alice savait que la mère d'Aena avait tué son père, en fait... La Serpentard se tourna donc vers le comptoir tout en se mordant la langue pour ne pas laisser s'échapper d'injures, tout en croisant les bras sur sa poitrine pour s'empêcher de prendre sa baguette magique en main et de lancer un sort à son ennemie... Le silence devint alors pesant et ce fût trop pour Mary-Alice qui ne pût alors s'empêcher de lancer, d'une voix mielleuse :

-Tiens, ta mère n'est pas là? Dommage, elle à perdu une occasion de finir ce qu'elle à commencé.

Se retournant alors, Mary-Alice fit face à son ennemie avec un regard noir....

Alors qu'Aena avançait, elle vit une silhouette se dessiner près du comptoir. Elle reconnaissait même la jeune fille qui y était accouder. Et franchement faire la queue avec elle n'était pas une bonne idée si votre mère avait tué son père. Et justement Kaley, la mère d'Aena, avait tué le père de Mary-Alice. Autant vous dire cette dernière ne portait pas Nana dans son coeur. Mais la jeune blonde ne pouvait pas fuir. Alors Aena continua d'avancer calmement vers le comptoir.

Elle fut arriver vite, bien trop vite. En effet, le vendeur n'était toujours pas là >.< et les deux Serpentarde allaient se retrouver en tête à tête. Et ça n'allait pas franchement être la joie. On pouvait bien remarquer que Mary-Alice. Et les deux jeunes Serpentardes se seraient les mâchoires pour ne rien dire. Elles ne voulaient pas s'énerver avant la rentrée. Mais la rage était telle que la brune ne pu s'empêcher d'ouvrir les hostilités.

Mary-Alice — Tiens, ta mère n'est pas là? Dommage, elle à perdu une occasion de finir ce qu'elle à commencé.

Etait-elle vraiment obligé de parler de Kaley. En tout cas c'était le meilleure moyen d'énervé Aena.

« Désolé de te décevoir mais à 16 ans on ne fait plus les courses avec sa mère. De plus cela fait 10 ans que je ne fais plus rien avec elle. Je t'ai déjà dis qu'elle me hait ? Ah, oui : au moins des centaines de fois. »

Après avoir dit tout cela sur un ton de reproche elle continua sur un ton ironique. Il fallait qu'elle prouve qu'elle méritait ses merveilleuses couleurs ;

« Et toi tu es venu avec ton papa peut-être ? »

Mary-Alice aurait mieux fait de se taire. Mais le problème c'est que parfois, elle pouvait se comporter comme une gamine. Et tout çà c'était la faute de sa mère, Selena, qui l'avait élevé comme une petite princesse, lui donnant tout ce qu'elle voulait. Et Maintenant, lorsque Mary devait se comporter en jeune fille mature, tout ce qu'elle parvenait à faire, c'était provoquer les autres comme une gamine pour arriver à la bagarre au final...

« Désolé de te décevoir mais à 16 ans on ne fait plus les courses avec sa mère. De plus cela fait 10 ans que je ne fais plus rien avec elle. Je t'ai déjà dis qu'elle me hait ? Ah, oui : au moins des centaines de fois. »

Et bien pour tout dire, peut-être bien qu'Aena avait dû lui parler de sa mère qui la haïssait. Bon pour tout dire, la Serpentard avait raison, elle lui avait déjà dit des centaines de fois qu'elle haïssait sa mère... Ben au moins, elle étaient deux Mais n'allait pas croire que pour cette raison, Alice allait faire Amie-amie avec Aena...

« Et toi tu es venu avec ton papa peut-être ? »

C'était tellement bas qu'Alice n'y fit même pas attention.Enfin dans la limite du possible... Elle se mordit donc fortement la lèvre inférieure et serra les poings pour ne pas sauter sur Aena et la gifler, et la fixa d'un regard noir. Elle lança alors d'un ton ironique :

-Très marrant !

Puis sans laisser le temps à l'autre Verte et Argent de rajouter autre chose, Mary-Alice ne pût s'empêcher de lancer d'un air hautain et froid:

-En fait, tu ne vaus même pas mieux que ta mère! T'es qu'une peste! Vous faîte la paire toutes les deux! Une peste et une criminelle !

Quiconque serait entré chez Fleury & Botts à ce moment précis aurait pû croire que Mary-Alice et Aena étaient deux gamines en train de se chamailler pour une affaire quelconque... Seulement, ce n'était pas une affaire quelconque mais une histoire de meurtre... Et dans l'histoire c'était bien Mary-Alice qui avait raison...

« Une criminelle ? Non mais c'est une blague ? C'était ton père le Mangemort si je me souviens bien, non ? C'est ton cher papa qui tue des innocents pour le plaisir de son cher Maître ! Celui-là même qui l'aurait tué dès qu'il n'en aurait plus eu besoins. Tu veux devenir comme lui, libre à toi, mais il n'y a pas de criminel dans ma famille. Et ne croit pas que je protège ma mère par plaisir de la protéger elle contre tes sornettes mais je protège ma famille, soyons d'accord ! Peste, oui peut-être. Mais si il y en a bien une c'est ma satané mère. Elle qui hait son propre enfant car elle l'a empêché de tuer un autre de ses monstres. »

En entendant les paroles de son ennemie, Mary ne pût se retenir de lever les yeux au ciel. Bien sûr que sa mère était une criminelle: c'était bien elle qui avait tué Stephen et non l'inverse... C'est donc avec un regard noir que notre petite princesse répliqua froidement:

-C'est peut-être lui le Mangemort de l'histoire mais ce n'est pas lui qui à tué quelqu'un! Regarde ta mère, non seulement elle à tué mon père mais en plus c'est une lâche qui s'en prend aux Moldus! C'est pathétique mais c'est la famille Imoen!

Se tournant alors vers sa pile de Livres, Alice préféra arrêter la conversation là et faire comme si la blondinette n'existait pas... Car après tout, sa mère lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas parler avec les Imbéciles

Alors que Mary-Alice fixait d'un air absent le comptoir, elle sentit qu'Imoen la retournait assez violement. Se retrouvant alors face à la blondinette qui lui déblatérait toute sa vie et dont Mary n'en avait ABSOLUMENT rien à faire, la brunette dût attendre qu'Aena ait finit pour se dégager de son emprise. Ouvrant la bouche, Mary-Alice voulut dire ses quatre vérités à Aena avant que celle-ci ne parte... Mais la blondinette fût plus rapide et préféra fuire à travers la file de gens qui regardait les deux jeunes filles d'un air indigné.

Soupirant alors en se retournant vers le comptoir, Mary-Alice prit appui sur celui-ci, avant de décider de laisser tomber ses achats elle-aussi. Elle partit alors du côté Moldu de Londres et monta dans le premier taxi qu'elle trouva pour se rendre chez elle, complètement déprimée, pensant que seule la vérité avait le pouvoir d'être blessante...