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« Est-ce vouloir dépasser ses propres forces que de vouloir être ce que l'on est ? »
Nom ▬ Bartholomew (né Collins ; Bartholomew étant le nom de mes parents adoptifs, que j'ai repris.) Prénom(s) ▬ Swann, Cooper Surnoms (facultatif) ▬ Aucun pour le moment ; mais je n'attends que ça.
Née le ▬ 25 décembre 1979 Lieu de Naissance ▬ Londres
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all about my family
Parents ▬ Mes parents biologiques sont tous deux des sorciers. Ils avaient un travail stable, des revenues normaux & nous ne vivions pas accrochés à la société grâce à leur durs efforts. Malheureusement, ils ont péri dans un banal accident de voiture. Un camion moldu leur est rentré dedans alors qu'ils allaient rendre visite à ma grand-mère, aujourd'hui décédée elle aussi, de maladie. Oui, disons que je n'ai plus vraiment de famille propre à moi, à part ma petite soeur. Mes parents adoptifs, je ne les apprécie pas réellement...
Frères & Soeurs ▬ Comme dit plus haut, j'ai une petite soeur qui est de 2 ans ma cadette, Cassie. Je l'aime comme si elle était ma propre fille ; c'est pour cela que je la surprotège tout de temps. J'ai bien trop peur que les gens ne profitent de sa vulnérabilité & de sa timidité. J'ai un frère adoptif ; avec qui je m'entends super bien, Duncan.
Autres ▬ Je n'ai pas d'enfant ; je n'y pense d'ailleurs pas vraiment pour le moment, même si je rêve de fonder ma famille.
Situation ▬ Je suis célibataire. J'ai eu beaucoup d'anciennes relations, mais à chaque fois je ne sentais pas le déclic, la chose qui fait que vous finirez votre vie avec votre conquête.
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all about me
Noël, c’est sans aucun doute la plus belle fête que l’on puisse fêter de nos jours. Cependant c’est aussi le jour de ma naissance : oui, je suis bien né le vingt-cinq décembre mille neuf cent soixante-dix-neuf, à Londres. J’étais resté quelques jours de plus à l’hôpital en observation, avec ma mère. Oui, j’étais prématuré de quelques jours. Les médecins avaient beau rassurer mon père comme quoi ce n’était vraiment pas grave, ce dernier a insisté pour que ma mère & moi-même restions encore un peu, afin de vérifier que tout allait pour le mieux. Je restai donc cinq jours de plus à compté de ma naissance. Le jour de ma sortie de l’hôpital, il neigeait vraiment beaucoup. La route était totalement blanche, on ne pouvait pas la distinguer des trottoirs de la ville. Nombre de Londoniens de sortie ce soir-là avaient eu un accident, mais fort heureusement pas nous : pas ma famille. Mon père était un sorcier très prudent, encore plus lorsqu’il était sur la route. Ma mère avait pourtant très peur lorsqu’elle voyait les voitures devant la notre glisser & quitter la chaussée. Il faut dire que c’était une vue assez traumatisante. Moi, je n’avais rien vu. J’étais bien au chaud sous pleins de couvertures. Le lendemain, tout le voisinage était venu féliciter mes parents de ma venue au monde. Les gens défilaient dans la maison, & s’arrêtaient devant mon berceau quelques minutes, le temps d’admirer le beau nouveau-né que j’étais. Sans me vanter, j’étais vraiment un très beau bébé. J’avais des yeux bleus perçants, sur un visage angélique. Tout cela ne pouvait que ravir les petits yeux émerveillés de ceux qui me regardaient. Le temps passait vite, tout le monde était parti ; & moi je dormais à points fermés depuis déjà bien longtemps. Mes parents restaient-là, collés l’un contre l’autre, à me dévorer des yeux. Puis ils allèrent se coucher.
On ne peut pas dire que mon petit début de vie fut parfait : je passais en effet les trois quarts de la journée chez ma nourrice. Le travail de mes parents leur prenait bien trop de temps. Mais il le fallait, sinon ils ne pourraient subvenir à tous nos besoins. Un bébé ça coûte cher, hein ! Enfin, je me comprends… Entre les couches, la nourriture, les services de la nourrice & tout le reste, l’argent y passe ! J’étais loin d’être né avec une cuillère d’argent dans le bouche. Je considérais donc ma nourrice comme ma propre mère, car elle passait tout son temps disponible avec moi. Par chance, comme il s’agissait d’une vieille amie à ma mère (elles étaient amies au collège, mais elles se sont perdues de vue rapidement), celle-ci lui avait fait un tout petit prix. Elle avait deux filles nettement plus âgées, elles devaient avoir facilement cinq ou six ans de plus que moi. Elles me regardaient faire la sieste toutes les après-midi, peut-être trouvaient-elle ça passionnant, qui sait ?
Trois années s’écoulèrent, à la vitesse de la lumière ; j’avais grandi. Je marchais, je parlais pas beaucoup mais je me débrouillais pour me faire comprendre lorsque j’avais faim, lorsque j’avais envie de faire mes petits besoin naturels, etc. Je jouais pratiquement toute la journée avec les filles de ma nourrice, je les trouvaient gentille, je m’étais vite épris de confiance à leur égard. Mais elles, elles avaient école. Alors je les voyais surtout pendant les vacances. Ce n’étaient pas des sorcières, elles n’allaient pas à Poudlard, non. Il s’agissait de jeunes filles normales, ayant des amis normaux qui ne possédaient pas de baguette magique. Mais leur mère était au courant de ma nature, elle était au courant de la nature de mes parents. Elle avait juré d’en garder le secret. Ma mère se voyait mal mentir à tout le monde, cela ne lui plaisait pas du tout.
J’avais passé la nuit chez moi nourrice, cette fois-ci. Ce n’était pas habituel. Je me demandais bien pourquoi je n’étais pas dans mon lit comme toutes les nuits. Je me demandais bien pourquoi ce n’était pas ma mère qui m’avait donné à manger. Le lendemain, j’étais dans mon lit. Mais y’en avait un autre à deux mètres. J’étais curieux, je me dressai alors sur les barreaux de mon lit & j’aperçut un tout petit bébé, tout de rose vêtu. Une fille. Ma sœur ? Sûrement. Bref. Ce jour-là, c’était une journée comme toutes les autres, enfin presque. Mes parents s’étaient levés bien avant l’aube, moi je m’étais rendormi. La petite fille à côté de moi m’avait tout de même assez troublé. Le temps qu’ils se préparent, qu’ils prennent leur petit-déjeuner quotidien & ils nous réveillèrent enfin. Ils me déposèrent comme prévu chez ma nourrice, qui maintenant était aussi la nourrice de ma petite soeur & chacun prit son travail à l’heure. Mais je ne pensais pas que ce matin allait être le dernier matin passé avec mes parents. J’étais jeune, je ne connaissais pas cette chose. Je ne savais pas ce qu’elle signifiait & encore moins ce qu’elle engendrait. Je ne me doutais pas une seule seconde que je n’allais plus voir mes parents de toute ma vie… Le soir, personne ne vint nous récupérer. Notre nourrice pleurait à chaudes larmes. Elles venait de perdre une amie qui lui était chère. Je ne comprenais pas. Elle était assisse sur un fauteuil ; & moi j’étais là, à lui caresser la jambe en la regardant dans les yeux. Elle me prit sur ses genoux & me murmura à l’oreille des mots que je ne connaissais pas. Ses filles & ma sœur dormaient déjà. Ce fut une personne inconnue qui vint me récupérer, tard dans la soirée, ainsi que ma petite sœur, qui se prénomme Cassie.. J’étais dans le salon, j’entendais ma nourrice crier fort & se disputer avec l’autre dame.
LA NOURRICE ▬ Vous ne pouvez pas les emmener comme ça. Vous allez les arracher à leur passé, il a passé les premières années de sa vie dans cette maison, & Cassie vient tout juste de naître. Vous allez commettre une grave erreur.
L'ASSISTANTE SOCIALE ▬ Ecoutez, je ne fais qu’obéir aux ordres de mes supérieurs. Il n’est marqué nulle part que vous êtes la tutrice légale de l’enfant … elle regarda une lettre … Swann Cooper Collins ainsi que de l‘enfant Cassie Lynne Collins. Je vais l’emmener dans l’orphelinat de Londres. Ils seront bien traités jusqu’à ce qu’une ou deux familles ne les accueillent.
L’assistante sociale se saisit alors de moi & de Cassie & nous emmena dans sa voiture. La pluie battait fort dehors. Le vent claquait les cheveux, marcher était quasiment impossible. Les cris & les pleurs de ma nourrice étaient étouffés par les lourdes bourrasques. Moi je pleurais toutes les larmes de mon corps. Je n’entendais pas ma sœur. Je me débattais ; je voulais retrouver la femme qui s’était occupée de moi pendant tout ce temps. Je ne comprenais pas ce qui était entrain de se produire. Je me voyais m’éloigner de cette si jolie maison, pleine de souvenir. Les minutes passaient & je calmai mes pleurs. Nous étions déjà bien loin de la maison de ma nourrice. Je ne connaissais pas la dame. Mais je n’avais déjà pas envie de la connaître. Je m’endormis bien vite… Lorsque je me réveillai, j’étais dans une chambre que je ne connaissais pas, avec des gens que je ne connaissais pas non plus. L’odeur m’était pas familière. Il y avait beaucoup de bruit, des enfants courraient autour de moi. Je me levai de mon matelas mais je ne voyais pas ma petite sœur. Je ne l’avais jamais encore vue de très près. Je ne savais même pas encore à quoi elle ressemblait. Je voulais savoir, je me mis alors à la chercher dans la grande chambre pleine de lits, dont certains étaient utilisés, d’autres non, dans laquelle j’étais. Mais là, un homme entra, & il y eut un énorme coup de vent. La fenêtre claqua. Je sursautai. J’avais peur, je ne trouvais pas Cassie. Je commençai alors à pleurer. J’entendis une personne courir vers moi. Elle commençait à parler.
L‘ASSISTANTE SOCIALE ▬ Fais attention ! Tu vas réveiller les enfants si tu continues à faire un tel chahut ! Sors d’ici !
L‘INCONNU ▬ Je suis désolé. Oui, je m‘en vais. Je voulais juste voir les deux nouveaux qui venaient d‘arriver, hier tard dans la soirée. Hum… Swann & Cassie, c‘est bien ça ?
L‘ASSISTANTE SOCIALE ▬ Oui c‘est ça, alors maintenant du balai ! Les visites ne commencent qu‘à quinze heure, il n‘est qu‘une heure. Laisse-les se reposer.
La porte se renferma doucement, mais j’entendis le petit clic qu’une porte fait lorsqu’elle se ferme complètement. Je continuais de regarder un peu tous les lits, malheureusement ne sachant pas à quoi elle ressemblait exactement j’allai me recoucher. J’avais vraiment beaucoup de sommeil à rattraper, & les émotions étaient fortes, ces derniers jours. Je me réveillai quelques heures plus tard. La salle était pratiquement vide. En regardant par la fenêtre, je les voyais tous batifoler & rigoler dans la cour, dehors. Le soleil était haut dans le soleil, pourtant il n’avait pas l’air de faire très chaud. Je décidai de regarder une dernière fois. C’est là que je vis une toute petite fille endormie dans un berceau dans un coin de la salle. J’approchai. Elle était vraiment très belle. C’était peut-être ma sœur ? Je pensais que oui. Il n’y avait que la fille de ma mère qui pouvait être aussi jolie que ça. J’avais un sourire aux lèvres. Cependant, je me demandais bien où est-ce que j’étais. Heureusement, je ne restai pas ici bien longtemps. Quelques mois après mon adhésion dans l’orphelinat, une famille entière vint faire une petite visite. Ils avaient l’allure de bourgeois. Ils s’arrêtèrent devant moi & continuèrent jusqu’à ma présumée petite sœur. Là la femme prit la parole, tournée en direction de la femme qui m’avait arrachée à ma nourrice.
]LA FEMME ▬ Ils sont frère & sœurs ?
L‘ASSISTANTE SOCIALE ▬ D’après leur fiche d’entrée oui. La fille s’appelle Cassie, & le garçon Swann. Swann a trois ans, quatre cet hiver, tandis que Cassie a sept mois.
LA FEMME ▬ Ils sont jeunes… Chéris, ne les trouvent-tu pas magnifiques, ces enfants ? Je suis sous le charme. Prenons-les.
L‘HOMME ▬ Oui tu as totalement raison, ma chère. Ils sont sublimes. Je suis d‘accord pour signer les papiers dès maintenant.
Les adultes quittèrent tous la pièce, sauf le petit garçon qui resta à mes côtés. Il me prit la main & me fit un petit bisou sur la joue. Moi, je ne comprenais rien, comme toujours. Pourtant, quelques jours plus tard, j’étais dans une nouvelle maison, avec de nouvelles personnes, de nouvelles odeurs, de nouvelles décorations… Mais j’avais ma petite sœur, c’était le principal. Au fur & à mesure que je grandissais, mon amitié pour le petit garçon qui m’avait fait un bisou sur la joue grandissait aussi. Il s’appelait Duncan, il avait mon âge. Nous avions seulement deux semaines de différence. Nous étions toujours ensemble, nous étions inséparables. Ma sœur était toujours avec ses poupées. Je lui disais de venir jouer avec nous mais il n’y avait rien à faire, les poupées c’était son truc, alors que nous nous passion notre temps à jouer à la guerre. Mais bon, nous étions des garçons, & elle c’était une fille. A l’école, tout se passait bien. J’avais beaucoup de petits copains. Je faisais aussi beaucoup de bisous à beaucoup de filles différentes. J’étais apprécié des filles & Cassie était appréciée des garçons. Tant mieux, dirais-je ! Mais je ressentais comme un sentiment de jalousie. Je n’aimais pas quand Cassie jouait avec d’autres garçons, ça me rendait bien trop jaloux. Ce n’était pas que j’aimais ma sœur pour amour, non non loin de là, juste que j’avais peur pour elle. Alors quand j’ai vu ce garçon l’embrassait de ses lèvres la bouche de ma petite sœur, j’ai cru que j’allais exploser. De là s’en suit ma toute première bagarre. Ma toute première punition, aussi. Je dus recopier cent lignes. Le recopiage, quel travail ennuyant… & mon père me punit une seconde fois à la maison, comme si je n’avais pas déjà été puni par la directrice de l’école… Je fus consigné trois jours dans la chambre, sans la moindre visite des copains. En plus de ça, mon père adoptif me gifla pour la toute première fois…
LA MERE ADOPTIVE ▬ Non mais tu as vu ce que tu as fait ! Tu es fou ?! On a toujours dit que jamais nous ne lèverons la main sur quelque enfant que ce soit ! & qu’est-ce que tu viens de faire ?! Tu viens de gifler Swann !
LE PERE ADOPTIF ▬ Oui bon ça va, il va s‘en remettre.
Elle se retourna & me fit un câlin, tandis que moi je pleurais. Cet épisode de ma vie me choquera toujours. Ce fut la toute première claque de ma vie. Heureusement la dernière. Ma vie se fit normale & quotidienne durant deux longues années, jusqu’à ce que mon père adoptif commence à me parler d’une école de sorcier nommée Pourdlard, de mes onze années, de magie, etc etc. J’étais ébahi, mes yeux était écarquillés au maximum. J’avais du mal à croire tout ce qu’il me racontait. Là, il se mit à me parler de de maisons, de rivalités. Là, je dis stop. Je ne comprenais vraiment plus rien. Alors je retournai jouer dans la grande cour privée qui était située juste derrière la maison. Je jouais au ballon avec Cassie & Duncan. Le père de Duncan nous regardait fixement. Il s’était installé sur la terrasse qui surplombait la cour. Le soir venue, dans ma chambre, je commençais à parler de tout ce que m’avait raconté le père de Duncan à Cassie ainsi qu’à Duncan lui-même. Il me confirma les dires de son père ; ce que je trouvais très étrange.
DUNCAN ▬ C’est parce que nous sommes des sorciers, Swann. Tu n’étais pas au courant ? A 11 ans, tous les sorciers inscrits à Poudlard partent dans cette école de magie, & reviennent pour les vacances d’été, ensuite ils repartent, ce pendant 7 ans. Tu n’étais pas au courant ?
SWANN ▬ Non mais attends, c‘est une histoire de dingue. T‘es entrain de me dire que je suis un sorcier, & que Cassie aussi ?
Duncan ne pouvait qu’approuver. Je ne dormis pas de la nuit, je me posais tout plein de question sur mes parents décédés sept ans auparavant, sur ce qu’ils étaient vraiment, sur ce que j’étais moi. Ce que l’avenir me réservait, tout ça, ça m’effrayait. Tard dans la nuit, j’entendais ma mère adoptive parler avec son mari. Je ne comprenais pas quand chose à leur chuchotements le seul mot que je réussis à entendre ce fut « Mangemort » … Bien évidemment, je gardais tout cela pour moi. J’étais encore plus effrayé. Je vins donc rejoindre ma sœur dans son lit, elle dormait, je la pris dans mes bras & m’endormis contre elle… L’été passait vite ; Septembre arrivait déjà, l’heure était pour moi & Duncan de partir vers Poudlard. Nous sommes tous les deux envoyés dans la même maison. Nous étions toujours aussi inséparables. Je commençais même à croire qu’il devenait mon meilleur ami, puisque nous avions aucun lien de sang. Au fil des années, je pris de l’assurance en ma personne, surtout vis-à-vis des filles, que je collectionnais. Je ne trouvais pas ça bien, mais je voulais vraiment trouver la fille idéale & me poser.
Lorsque j’entrais en troisième année, Cassie vint me rejoindre à Poudlard, elle entrait en première année. Je ne pensais pas que sa rentrée allait si mal se passait. Elle était exclue ; elle ne se faisait pas d’amis, & se faisait souvent marcher dessus par les plus grands. Je ne voulais pas laisser faire ça ; je la pris donc sous mon aile. Je l’aimais comme ma propre fille, je me devais de la protéger quelques en soient les circonstances. Avec moi, elle se sentait en sécurité. Mais les gens se moquaient souvent d’elle ; malheureusement je ne pouvais rien n’y faire. Par chance, elle fut envoyée dans la même maison que moi, ce qui allait sûrement l’aider à s’intégrer.
Cette année, j’entre en septième année. J’ai compris que le père de Duncan n’était d’autre qu’un Mangemort, sa mère aussi. Je ne savais pas si je devais suivre cette voix, je ne savais pas si telle était ma destinée, ou si tel était ce que souhaitaient mes parents…
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all about diverses things
Bois de la baguette ▬ Bois de Chêne
Élément de la baguette ▬ Ventricule de coeur de Dragon
Patronus ▬ Un chat Angora.
Epouvantard ▬ Mes cheveux qui tombent.
Signes particuliers ▬ Un narcissisme bien plus que maladif.
Maison souhaitée ▬ Serpentard ?
Année ▬ Je vais entrer en Septième Année.
Groupe ▬ Neutre, mais j'ai tendance à tourner vers le Mal.
Avatar ▬ Dougie Poynter