Arizona Léa Greenleaf ▬ Des blessures peut en cacher d'autres.

Tout commence le 27 septembre 1980. C'est ce jour, où je vois le jour d'un amour interdit. En effet, deux mondes séparaient les deux êtres qui m'ont mis au monde. L'un était sorcier, tandis que ma mère est une moldu. Ils se sont rencontrés par le plus grand des hasards. Alors que John, mon père, se ballait tranquillement dans les rues de Londres, afin de découvrir le monde des non-sorciers, ils étaient en train de se prendre la tête afin de comprendre comment marcher un métro normal, ma mère Angela lui a montré comment ça fonctionnait. Depuis ce jour, ils ne se sont plus quittés. Ils avaient que vingt ans leur de leur premier rencontre et regard. Lorsqu'ils firent plus ample connaissance, et après quelques années de vie commune, que mon paternel décide d'avouer son plus grand secret qu'il garde enfui dans son coeur : qu'il est sorcier. Au début, ma maman s'est mise à rire lorsqu'il lui a avoué qu'il n'était pas qu'une simple personne qu'on rencontre dans la vie. Après avoir montré deux ou trois sortilèges pour lui donner une preuve de ce qu'il racontait n'était pas que des mensonges, ma mère fut bien obligée de l'accepter tel quel. C'est cinq ans après leur rencontre que je vois le jour. J'ai eu une enfance très heureuse remplie d'amour, de tendresse et de douceur. De ce côté là, il n'y avait rien à dire. De temps en temps, quand je travaillais bien à l'école (C'était une école normal) ou j'étais sage, il me montrait ou m'apprenait quelques tours de magie. Je trouvais ce monde si fascinant, que j'étais impatiente d'acquérir mes premiers quelques sortilèges pour me défendre ou pour m'amuser, malgré l'interdiction de ma maman qui ne voulait pas faire partie de ce complot, comme elle disait. Un drame surgit le jour de mes neuf ans. En effet, alors qu'il était partie en mission avec les Aurors afin d'aller protéger une bande de sorcier; ce dernier meurt subitement à cause d'un des sortilèges qu'il est interdit de lancer. Évidement, les Mangemorts qui ne respectent rien le tue. J'ai longtemps été sous le choc, ayant même envie de me venger. Heureusement que ma mère me fit la morale, que mon paternel n'aurait pas voulu que je réagisse de cette façon. C'est vrai, il a tué mon père et je devrais rester là sans rien dire ? En même temps, j'étais trop petite pour vouloir me venger ou autre. Un an plus tard, j'ai reçu la lettre de Poudlard qui m'informait que j'étais admise dans la célèbre école de sorcellerie. Tout comme mon père, j'ai été envoyée chez les Gryffondors. Plus tard, je voudrais suivre les mêmes traces que papa. Afin de lui rendre hommage, qu'il soit fier de moi de là-haut, et puis parce que j'ai envie d'aider les Aurors à éliminer ceux qui font le mal dans ce monde peuplé de force de mal, malgré les apparences.