« Théodore Blythe Nott. » ♔ ENDING ♥

I. IDENTITE

BY CANDYROCK.

Nom : Nott Prénoms : Théodore Blythe Kasey. Surnoms : Ou pas x) Née le : 21 Septembre 1979. Lieu de Naissance : Londres, Angleterre. Parents : Un père Mangemort, et une mère décédée. Frères & Soeurs : Fils unique.

Situation familiale : Célibataire.

II. HISTOIRE

Récit de vie, histoire du personnage :

THÉODORE BLYTHE NOTT ▬ Ce fut le nom que l’ on accorda à un nouveau né, alors qu’ il venait de voir le jour pour la première fois, durant la nuit du 21 au 22 Septembre 1979, dans un lieu dont il ne retiendrait pas la descriptions mais qui n‘ était pas le moins du monde une chambre d‘ hôpital, et pour cause ses parents étant tout deux des Mangemorts, il aurait été étrange de les voir apparaitre dans un lieu si public. Il fut étrange de constater que ce choix de prénoms ne sembla pas convenir à l’ enfant puisque - et son père lui raconta souvent cette histoire, peut être pour lui montre que des le début, il avait été le plus agaçant des fils qu’ on puisse avoir - le pauvre paquet de chair hurlant qu’ il était à l’ époque se mit aussitôt en tête de faire entendre sa voix et de pleurer jusqu’ a ce qu’ on l’ eut posé dans les bras de sa mère. Il fallait bien dire que c’ était sans doute le lieu ou, à l’ époque et tout comme ce serait durant son enfance, c’ était le lieu ou il se sentait et se sentirait le mieux jusqu‘ a ces six ans, et qu’ il n’ avait alors d’ autre idée et de choix que de cesser de crier et de faire rouler des larmes sur ses joues. Observé alors par ses deux parents, ayant souhaité après plusieurs mois de doute garder l’ enfant à leurs coté, le petit bonhomme ne devait pas à l’ époque comprendre ce qui se passait et se concentrait donc plutôt sur le fait de, comme tout les nouveaux nés, savoir pourquoi il avait si froid alors qu’ il se trouvait quelques heures auparavant dans un cocon ou il se sentait réchauffé et protégé. Il ne pouvait pas alors comprendre qu’ il était une erreur, savoir qu’ il n’ était pas voulu, qu’ Elizabeth Winstead devenue récemment Nott et son mari Richard n’ avait aucunement envie de lui. Qui pourtant, voudrais d’ un gosse qui hurle de toute ses forces toute la nuit et n’ arrêtes pas de baver, c’ était bien la question que son père se posait.

DÉGAGES, THÉODORE ! ▬ Il ne compte plus les fois ou il a entendu cette phrase, du haut de ses cinq ans et, à vrai dire il n’ a pas l’ impression que son père lui en a dis d’ autres depuis qu’ il a l’ âge de comprendre les paroles des gens. Il ferme alors les yeux et il s’ en va en haussant les épaules. Avant, sa mère le défendait mais les choses sont différentes maintenant. Elle n’ a plus la force de se lever de son lit, assaillie par une maladie dont elle ne guérira sans doute pas, l’ enfant a entendu le médecin le préciser à son père. Alors, quand il peut, le gosse va se blottir contre sa mère, dans le lit qu’ elle occupes et il se rappelle le temps ou elle pouvait encore jouer avec lui. Le lit de sa mère, c’ est l’ endroit ou il est le mieux, c’ est celui dans lequel il se décide à rester la jusqu’ a ce que, encore une fois, son père l’ y surprenne et lui dise de dégager. En attendant ce moment, il peut dire qu’ il est à la fois tranquille et heureux.

L’ hiver s’ engage au fil des jours. La dernière fois qu’ il a joué avec un voisin dans la neige, Théo à vu sa mère penchée vers la fenêtre ouverte. Se rendant compte qu’ il l’ observait, la jeune femme avait alors adressé à son fils un signe de la main et, sans se soucier du fait que ce geste soit minime, Théodore à souri et en faisant le même geste pour confirmer qu’ il avait vu. Cela, c’ était la dernière fois, un jour avant que sa mère ne soit transférée à l’ hôpital. La, Théodore joue dans les couloirs, un vague sourire aux lèvres. Vague seulement parce qu’ on lui a interdit d’ entrer dans la chambre ou est sa mère, et qu’ alors qu’ il est venu en visite avec son père, il voudrait la voir autrement qu’ a travers une vitre. L’ occasion se présente d’ ailleurs quelques minutes après, alors que son père sort de la pièce accompagné d’ un infirmier. Aucun d’ eux ne reformules le fait qu’ il ne doit pas entrer et, dans son esprit d’ enfant, c’ est bien assez pour que Théodore pense que l’ interdiction n’ est plus valable. Une minute à peine, et les adultes ont disparus au détour d’ un couloir. Ils ne sont guère mais c’ est maintenant ou jamais, et l’ enfant a saisi sa chance en entrant dans la chambre ou est sa mère.

- Maman ? Commence le gosse en s’ avançant près du lit, souriant maintenant comme s’ il venait de recevoir ses cadeaux de Noel une nouvelle fois.

Aujourd’ hui, il a vu sa mère ce qui n’ était pas arrivé depuis plusieurs semaines. S’ étant approché au niveau du lit, Théodore essaie de chercher la main de sa mère à tâtons, étant trop petit pour que sa tête arrive au niveau du matelas et qu’ il puisse regarder la jeune femme dans les yeux. Enfin il la trouve, la prends dans sa propre main et la serre de toute ses forces. C’est à ce moment qu’ il a l’ idée de s’ appuyer sur la table de chevet présente pour s’ aider à grimper sur le lit et être à coté de sa mère. Chose pensée, chose faite il s’ agrippe tout en essayant de ne pas lâcher la main de sa génitrice et réussit au bout de quelques essais de grimper. Un sourire lui glisse sur les lèvres tandis qu’ il se blottit contre la femme alitée, qui a d’ ailleurs tourné la tête à son niveau comme si elle avait senti. Elle aussi lui sourit, son regard oscillant entre son fils et la main qu’ il tient serrée dans la sienne. Avec l’ autre, elle caresse les cheveux de Théodore, les repousse derrière ses oreilles. L’ enfant se sent bien avec elle. Elle n’ a pas cette indifférence presque amère que lui offre son père, au contraire il sait qu’ elle l’ aime, elle.
Le bruit s’ est déclenché sans qu’ il ne s’ en rende compte, trop occupé à penser. Il ne s’ est pas rendu compte qu’ elle avait cessé de lui caresser les cheveux, le visage, qu’ elle avait s’ était laissée tomber après avoir tenté de se redresser, qu’ elle avait du mal soudainement à respirer. En constatant cela, et ce sans vraiment savoir pourquoi, il a hurlé presque malgré lui.

- Maman ? Maman, MAMAN ! Continua-t-il de crier même si des bras venus de nulle part l’ avaient saisi par derrière. Il a mordu pour se défendre, de toute ses forces, souhaitant plus que tout rester avec elle. Il ne s’ est pas soucié du cri qui a retenti, il voulait juste retourner prés de la jeune femme. Saisi à nouveau au niveau des cotes, il se débat et hurle, cherche à mordre une nouvelle. Le sang lui cogne étrangement aux tempes, il sent une rage impuissante l’ envahir, rage qui ne le quitte même pas lorsque la personne le tenant finit par renoncer et le lâcher sur le lit. Théodore regarde sa mère, essaye de sourire mais ses yeux sont brouillés de larme. Elle semble essayer de parler, de faire un geste mais rien. Lui de son coté cherche de l‘ aide, mais la personne qui l‘ avait saisi quelques instant auparavant n‘ est plus la. Il se sent seul et pourtant, la présence de sa mère le rassure. - Maman, réponds moi maman.. Murmure t-il comme s‘ il suffisait qu‘ il le veuille pour qu‘ elle le fasse. Elle ne peut même pas se redresser, comme pourrait elle avoir la force de parler ? Pourtant, il ne le comprends pas, il ne veut pas le comprendre, il se dit qu‘ elle ne peut pas l‘ abandonner comme cela.

- T.. Théo.. Réussit elle pourtant à chuchoter après avoir bougé les lèvres en silence pendant quelques instants. C‘ est la dernière chose qu‘ elle peut lui dire, et presque aussitôt un spasme lui coupe la parole et pour la première fois de sa vie, Théodore voit une chose s‘ éteindre dans ses yeux. Il ne sait même pas ce que c‘ est, une sorte de lumière brillante qui vient de disparaitre et a fait sonner les machines avec encore plus de force. C’ est à ce moment que son père apparait avec un médecin. Théodore est immédiatement écarté mais cette fois, il ne se débat plus. Il ne sait plus à quoi au fond, cela pourrait il bien servir.


Il n’ aime plus les femmes, et il n’ en aimeras plus jamais. Il l’ a décidé la veille alors qu’ on enterrait sa mère, alors qu’ il n’ a pas pu se glisser avec elle dans le tombeau alors qu’ il l’ aurait voulu. Puisque celle qui lui avait donné une raison de vivre est partie, Théodore se dit qu’ il s’ en fiche des autres femmes. Il se consacre maintenant étrangement aux nouveaux animaux qui viennent roder autour du Manoir, comme si l’ odeur de la mort les avaient attirés. Ils ont l’ air horrible en apparence, dénudés de chair et fait comme s’ ils ne possédaient que des os mais Théodore les aime bien. Ils se laissent facilement caresser et cela lui plait. Un soir, quand il est rentré au Manoir après en avoir vu un, son père lui a dit que les animaux s’ appelaient des Sombrals. En haussant les épaules, Théodore à répondu qu’ il les aimait même si leur nom était bizarre.

GRANDIR, TOUJOURS GRANDIR ▬ Il a changé d’ avis pour les femmes le lendemain du jour ou il avait décidé qu’ il ne les aimerais plus. Pensée d’ enfant qui change du jour au lendemain, voila bien ce qui lui est arrivé en tête le lendemain de l’ enterrement. Pourtant l’ amour n’ est pas son premier intérêt et, en attendant, il évolue en se réfugiant dans les livres. La majeure partie des grimoires et autre bouquins de magie qui forment la Bibliothèque du manoir ou il vit concerne la Magie Noire mais cela lui plait. Il a d’ ailleurs repérer entre autres catégories des livres parlant des créatures magiques et c’ est ceux la qu’ il aime le plus lire. Lui qui du haut de ses sept ans commence à entendre parler de Poudlard pourrait même craindre d’ aller chez les Serdaigles tant il passe de tant assis dans ce lieu, à lire et relire les bouquins qui l’ intéressent et le passionnent, mais cette chose ne le préoccupes pas pour l’ instant.

L’ enfant va grandir en s’ entourant des livres et des animaux. D’ enfant solitaire, il passera à l’ adolescent renfermé, n’ accordant d’ importance qu’ a peu de choses. Le fait de ne côtoyer presque personne hormis son père après la mort de sa mère va lui permettre de se tracer en ignorant les autres, et cela sera sans doute une des meilleures choses qui, selon lui, pourra lui arriver. Ainsi il ne s’ attachera pas au gens. Ainsi les gens ne risqueront-ils pas dans un futur plus ou moins proche de le décevoir. Ainsi il grandira au fil des années en apprenant à ne pas se fier au premier inconnu.

SERPENTARD ME VOILA ▬ Les années ont passées, au nombre de six, suivant le fil des jours, des semaines et des mois. Tandis qu’ il marche aux cotés de son père dans la gare, le Théodore âgé de onze ans a du mal à contenir son impatience. Jetant un regard à son géniteur, il ne tarde pas à reporter son attention sur le chemin qui mène à la voie 9 ¾. Ce soir, il en est presque persuadé il fera parti des Serpentards. Un fils d’ ancien Mangemort, quand bien même ce dernier aurait il été acquitté des années auparavant, comment pourrait il en être autrement, d’ autant plus que toute la lignée dont il est issu est allé chez les Verts et Argent ? Serpentard sera sa maison, il en est sur et quand bien même il pourrait douter, la pensée de ses ancêtres est la pour lui rappeler qu’ il ne peut être autrement.

Le trajet s’ écoule tranquillement mais lentement. A peine s’ est il trouvé un compartiment et changé que Théodore voit défiler les élèves, plus ou moins âgés. La personne avec qui il partage la majeure partie du trajet est un adolescent nommé Blaise Zabini, le reste des nouveaux ou anciens élèves ne reste qu’ assez peu de temps profiter de la compagnie silencieuse de Théodore. C’ est mieux comme cela au fond, s’ il n’ aime pas parler cela ne regardes bien que lui. Regardant le paysage défiler travers la vitrine, le garçon espère vaguement et en silence. Même si la pensée qu’ il sera forcement un Serpentard le hante, même s’ il se dit que les choses ne peuvent pas aller dans un autre sens, il se sent anxieux à l’ idée qu’ il pourrait atterrir dans une autre maison.

Et il y alla, le Choixpeau ne sembla pas vraiment hésiter sur le fait qu’ il était déjà un Vert et Argent dans l’ âme. L’ attente de la fin de répartition lui appris que Zabini alla également à Serpentard mais il ne s’ accordèrent pas vraiment d’ importance pendant le reste de la soirée - d’ ailleurs Théodore n’ accorda pas vraiment d’ importance à qui que ce soit, la réciproque étant vraie aussi. Il déballa ses affaires en silence et, des le premier soir, il fit comprendre sans doute qu‘ il était dans la catégorie de ces gamins solitaires, impression qui devait se développer au fil des années.

ANNEES SCOLAIRES ▬ Banales étaient le mot qui devait les définir. Théodore cernait les caractères des autres élèves qui l‘ intéressaient plus ou moins, sans chercher à se faire des amis dans quel clan que ce soit. Il développait son âme de solitaire et ce caractère lui plaisait. Il n’ avait pas besoin des autres pour exister, ou du moins c’ était ce qu’ il pensait et cela lui convenait. Doué dans plusieurs matières, Théodore n’ éprouvait pourtant pas autant d’ intérêt pour l’ une d’ elle que celui qu’ il avait pour le Soin aux Créatures Magiques. Les animaux le passionnaient plus que tout, et il le montrait assez bien. C’ était une passion comme une autre, mis à part que c’ était la sienne.

La première année ne fut pas spécialement intéressante. N‘ ayant côtoyé que peu de gens hormis son père et ses voisins durant ses années d‘ enfance, Théodore ne s‘ habituait pas vraiment à la foule d‘ élèves qui l‘ entourait assez souvent, en cours ou dans les couloirs. Il y avait toujours du monde bien qu‘ il ne cherche pas à s‘ en faire des amis et c‘ était une raison pour laquelle il trouva vite une sorte de refuge, assez peu souvent rempli de monde et assez grand pour qu‘ il se retrouve seul à une table quand il y allait. Plus que tout autre endroit du château, il y trouverait une sorte de sérénité qui lui plaisait énormément, du fait de son caractère solitaire.

La seconde année fut presque aussi calme pour le garçon. Conservant toujours son naturel solitaire, refusant de faire partie d’ un groupe ou d’ une bande d’ élèves, il passa encore la majeure partie de sont temps à travailler et l‘ affaire de la chambre des Secrets lui passa presque à coté - en vérité, cela ne le concernait pas alors il ne voyait pas de quelle manière cela aurait pu l‘ intéresser. Il commença néanmoins à admirer en silence le moyen qu‘ avait eu Potter de se tirer des problèmes difficiles et en tira une sorte de vague admiration pour ce dernier, sans plus du fait qu‘ il n‘ allait pas non plus aller lui construire un temple, il n‘ aurait plus manqué que cela.

Troisième année, sans doute la première intéressante puisque la possibilité de suivre des cours de Soins aux Créatures Magiques s‘ offre à lui. L‘ adolescent de quatorze ans n‘ a pas besoin de connaitre le professeur et de l‘ apprécier, il sait déjà que ce cours va lui plaire du fait qu‘ il aime les animaux plus que tout. Il se fiche que ce soit le garde-chasse de l‘ école qui assure cette discipline, et au fond quelle importance pourrait il y accorder ? Tant qu‘ il peut suivre ce cours, celui qui les dirige n‘ est pas spécialement une chose primordiales dans les pensées de Théodore.

La coupe de feu lui donne l’ occasion de s‘ intriguer. Elle a refusé le bulletin des jumeaux Weasley mais a accepté Potter alors qu‘ il est plus jeune encore. Qu‘ importe finalement, l‘ annonce du Tournoi des Trois Sorciers devenus quatre lui plait assez bien. Les Dragons, le Lac et le Labyrinthe. La mort de Cedric Diggory et le discours du Directeur sur le retour du Seigneur des Ténèbres. Alors qu‘ il n‘ accorde par vraiment d‘ attention au tout début, les pensées de Théodore sont attirées par ce fait. Fermant légèrement les yeux, il se rappelle que son propre père est un Mangemort et l‘ évidence lui fonce dessus comme un cognard dans le ventre. Si certains élèves ne croient pas à ce retour, lui si.

Seize ans, quelques mois de plus que la plupart des autres élèves de cinquième année. Théodore multiplie les allers et retours dans la Bibliothèque, cherchant à s‘ évader pendant des heures dans ce lieu qu‘ il aime tant depuis qu‘ il y a mis les pieds pour la première fois, alors qu‘ il était en première année. Il semble chercher à y enterrer quelques chose, de la honte ou un sentiment qu‘ il ne comprends pas. Ou est passé le gosse qui, enfant, répétait sans cesse qu‘ il serait plus tard comme son père, qui disait à qui voulait l‘ entendre qu‘ il serait fier de devenir comme cette homme qu‘ il admirait ? Il oublie cela, et se dit que ce qui doit arriver arrivera. Inutile de penser à autre chose qu‘ au présent. Ne pas se gâcher le cerveau à penser à des choses impossibles. Oui, et pourtant, ce n‘ est pas si facile que cela parait.

Jour moins 21 avant la majorité. Plus adossé qu’ assis dans un compartiment du train, ne prêtant pas attention aux élèves qui bavardent à coté de lui Théodore semble une personne dans un monde parallèle, une personne qui ne pense à rien et fixe d‘ un regard vide le paysage qui défile en même temps que le train. Défoncer Potter. Comme la majeure partie des Serpentards ayant un parent en prison du fait de l‘ arrestation ayant eu lieu au ministère, Théodore ne se voit quasiment penser qu‘ a cela. Cette idée vient même le hanter la nuit, quand il n‘ arrive pas à dormir mais il sait qu‘ il ne le feras jamais. Certes ce serait une chose soulageant, certes il en rêve presque comme du fait qu‘ il avait rêvé enfant de revoir sa mère mais il ne le feras jamais. Le fait qu‘ il soit seul encore pour quelques semaines, le fait qu‘ il ai un père en prison et une mère décédée lui importe soudain beaucoup moins qu‘ il ne l‘ aurait imaginé. La liberté à laquelle il goute depuis ce temps lui plait. Et il sera bientôt majeur, bientôt débarrassé de la Trace.. Il n' attends en vérité plus que cela.

III. INFOS SUPPLEMENTAIRES

Bois de la baguette : If.
Élément de la baguette : Crin de licorne.

Patronus : Chacal Doré.
Epouvantard : Du feu, une illusion d' incendie ; Ne cherchez pas d' ou cela vient, Théodore ne le sait pas lui même.

Signes particuliers : Il est capable de voir les Sombrals, sa mère étant morte quand il étais enfant devant ses yeux.

Si vous êtes un élève, Maison souhaitée : Serpentard.
Vous êtes en qu'elle année ? 6eme Année.


Personnalité sur votre avatar : Chace Crawford ♥