Juste une dernier valse ▬ END

Sophiia Hécatonchires Lesskov

feat Megan Fox

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My Identity ▬ Nom ; Lesskov , un nom purement et typiquement Russe , c'est bien évidemment le nom de famille de mon père , celui de ma mère est tout aussi typique , mais typiquement italien ; Giliberti . Cela dit , je l'utilise assez rarement voir jamais. ▬ Prénom(s) ; Sophiia est mon premier prénom , il se prononce "sofiya" et je dois admettre que je n'aime pas qu'on l'écorche . C'est mon père qui me la choisis bien avant que je naisse , il était certain d'avoir une fille , c'est d'ailleurs lui aussi qui a choisis mon second prénom et là j'avoue que je n'ai pas d'explication rationnelle ou en tout cas valable face à ce choix. Mon second prénom est Hécatonchires , oui je sais , ça perturbe hein? ... Petit cours d'histoire , les Hécatonchires sont des divinités grecques , fils de Gaia et d'Ouranos , ils sont aux nombre de trois et possèdent tous cent bras et cinquante tête crachant du feu , ils sont les frères des centaures et autre cyclope... Mon père m'a expliqué qui l'attendait de moi que je sois aussi talentueuse et forte que cinquante personne , d'où ce nom et cette référence aux cents bras et aux cinquante têtes... Heureusement qu'il n'espérait pas me voir factrice ou bouchère , je ne préfère pas imaginer le second prénom dont il m'aurait affublé... ▬ Surnom(s) ; Je déteste les surnoms lié à mon prénom , donc pas de Sophie ou de Soph' , on m'appelle tout simplement Sophiia dans mon entourage. Par contre côté professionnelle j'ai divers surnom , notamment Madame red (prononcé en français partout) , Bloody Mary ou encore Lady Red , toujours lier aux rouges et/ou aux sangs , il faut dire que j'aime autant l'un que l'autre... ▬ Née le ; Je suis née en 1971 , j’ai donc 27 ans , quant à la date précise j'ai préféré l'oublier , je déteste les anniversaires , ça ne sert strictement à rien , à part nous rappeler qu'on vieillis , pire on reçoit généralement des cadeaux qu'on déteste mais qu'on ne peut pas rendre ou alors on se rend compte qu'on a pas d'amis quand personne se pointe à la fête.... Bref , aucun intérêt. ▬ Lieu de naissance ; J'ai vu le jour dans un petit village d'Ijevsk, c'est une ville de Russie et capitale de la République d'Oudmourtie. Autant vous dire que c'est le genre de coin où en été on porte encore des parkas et où la virilité et les familles nombreuses sont des règles immuable et divine. ▬ Parents ; - Dante Lesskov ; Mon père , l'exemple typique du macho de base , sévère , autoritaire et encore sévère. Il a été longtemps au service du ministère magique du Grand-Nord , c'était un soldat d'exception , cruel et doué dans ce qu'il faisait , s'infligeant une discipline militaire qu'il a su transmettre à ses enfants. A noter qu'il n'a jamais été fidèle , et pour preuve , je suis née d'un adultère , ça aurait pu passer inaperçu dans le village ... Si il n’avait pas décidé de se taper une pure italienne avec des gênes O combien résistant. - Mina Giliberti ; La pure italienne c'est elle , une rital pure souche et prostitué à ses heures perdues , et dieu seul sait que des heures elle en avait à perdre. Je ne sais que très peu de chose sur elle, à part qu'elle était jolie , j'ai d'ailleurs toujours eut une photo d'elle , le seul souvenir d'une mère vagabonde. Quand elle est tombé enceinte de mon père , elle l'a tout de suite prévenue , lui faisant comprendre clairement qu'elle ne garderait pas l'enfant chez elle , du coup il m'a prit dès ma naissance et je n'ai jamais revu ma génitrice. L'amour maternel m'étonnera toujours... - Agnessa Lesskov (née Andropov) ; Ma belle-mère , c'est l'épouse de mon père depuis presque quarante ans , malgré toutes ses infidélité , sa violence tant verbale que physique , elle est toujours resté et j'avoue que ça m'a toujours impressionné. Quand mon cher géniteur ma ramené à la maison elle a accepté à contre cœur de m'élever , il faut dire que c'est une chose d'être trompé , s'en est une autre de s'occuper de la bâtarde de son mari . Pire encore , vu mes origines italienne elle n'a pas pu faire croire que j'étais sa fille biologique , ben oui, mon père est roux aux yeux marrons, elle est rousses aux yeux vert , tous ses enfants étaient roux , difficile d'expliquer l'arriver d'une pure brune aux yeux bleu. Du coup tout le monde à bien compris que j'étais née d'un adultère malgré les mensonges que ma famille racontait et je crois qu'elle m'a toujours détesté pour ça. Ho bien sur elle m'a bien élevé , elle s'occupait au minimum de moi , mais soyons honnêtes , elle n'a jamais débordé d'amour à mon égard... Je l'appelle quand même maman , par habitude et au fond ça ne veut pas dire grand chose. ▬ Frères et soeurs ; - Lesskov Vasili ; Le plus âgé de mes frères , lui tout le monde l'écoute , c'est un dirigeant née . Il ne parle pas beaucoup , comme sa mère , mais je vous assure qu'il suffit d'un regard pour vous glacer le sang , j'ai toujours pensé qu'il était une espèce de psychopathe et qu'il cachait des cadavres dans sa cave , ça serait pas surprenant en tout ca. Il m'a toujours plus ou moins ignoré , pour lui je ne valais pas la peine d'exister , bref , le genre de frère avec qui je resterais jamais seul. (39 ans) - Lesskov Sergei ; L'un des plus bourru de mes frères , il ressemble beaucoup à mon père et il m'a toujours considéré comme une simple bâtarde... Je ne compte plus le nombre de raclé qu'il m'a mis pour des raisons souvent obscure , il suffisait que je respire trop fort pour m'en prendre une . Un véritable petit cœur ce Sergei. (35 ans) - Lesskov Pyotr ; Le frère jumeau de Sergei et comme lui il ne m'a jamais apprécié , comme lui il adorait me mettre des raclés , comme lui il m'a toujours traité comme une bâtarde qui n'avait rien à faire dans sa vie . On se voit très rarement , seulement pendant les repas de famille obligatoire , hé oui , mon père insiste toujours pour que tout ses enfants y soit peu importe l'entente générale ... Je vous raconte pas l'ambiance des fêtes de noël. (35 ans) - Lesskov Maksimilian ; Lui c'est le héros de la famille , le type qui a tout réussit dans sa vie . Il est devenue un gars important au ministère , enfin important , c'est une façon de dire qu'il gagne beaucoup de fric mais je n'ai jamais vraiment crus qu'il avait son mot à dire sur les choses qui compte. Je ne dirais pas qu'il me déteste mais il est du genre moralisateur , il veut me voir marié et avec cinquante gosses juste pour son image, il dit que toutes les familles russes devraient être comme la sienne... Si il savait que sa femme se tape un dresseur de dragon il se la ramènerait surement moins. (30 ans) - Lesskov Izabel ; Izabel à pratiquement le même âge que moi , on a donc toujours été assez proche , le seul hic c'est qu'elle a toujours était très faible , elle se laisse continuellement marcher sur les pieds , elle se sous-estime sans cesse , depuis enfant j'ai du lui sauver la mise plus d'une fois mais malheureusement je n'ai pas pu empêcher son mariage avec une brute épaisse qui ne fait que la battre et la tromper... Je ne la vois plus souvent depuis que j'ai mis une raclé à son cher et tendre... Mais je la surveille tout de même à distance , c'est mon rôle de grande soeur ... (26 ans) - Lesskov Feliks ; Encore un frère , y'en a beaucoup dans la famille. Feliks est le petit dure du clan , il a toujours adoré défier les lois de la maison , résultats à seize ans il s'est fait mettre dehors dans le froid glaciale de la Russie. A partir de là je sais que sa vie n'a pas été très calme et facile , mais je ne l'ai quand même pas revu pendant presque deux ans . Jusqu'à ce que je décide de faire un peu comme lui , de façon plus intelligente , depuis je l'aide souvent financièrement , on s'entend donc plutôt bien , c'est mon petit frère après tout... (22 ans)

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© LONELY_ANGEL

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Tell me more

▬ Autre (Enfants...) ; Je n'ai jamais été très douée avec les gamins , je n'ai donc pas d'enfant , cela dit j'ai pas mal de cousins , cousines mais aussi de nièce et neveux. Je me souviens qu'à la dernière grande réunion des Lesskov , on était une bonne centaine , si ce n'est un peu plus , donc oui , j'ai une grande famille même si je ne les vois pas tout les jours. Par contre du côté de ma mère j'ignore si j'ai des tantes , cousins , neveux ou même frère....
▬ Situation familiale ; Je n'ai jamais été très douée avec les gamins , je n'ai donc pas d'enfant , cela dit j'ai pas mal de cousins , cousines mais aussi de nièce et neveux. Je me souviens qu'à la dernière grande réunion des Lesskov , on était une bonne centaine , si ce n'est un peu plus , donc oui , j'ai une grande famille même si je ne les vois pas tout les jours. Par contre du côté de ma mère j'ignore si j'ai des tantes , cousins , neveux ou même frère....

▬ Maisons à Poudlard ; Je n'ai pas été à Poudlard mais à Durmstang comme la majorité des gamins du Grand-Nord.
▬ Metier ; C'est compliqué d'expliquer clairement ce que je fais dans la vie... Disons que ce n'est ni légale ni sans danger mais que j'adore ça.

▬ Bois de la Baguette ; Mélèze de Dahurie ,c 'est un bois que l'ont trouve surtout en altitude aux abords de la Sibérie mais aussi aux frontières de la Chine et de la Corée , finalement c'est un bois qui me correspond plutôt bien , on a un peu les mêmes origines.
▬ Elément de la Baguette ; Un nerfs de coeur de loup , ça aussi ça me correspond bien ! Je trouve que le loup est un animal majestueux et puissant , qui impose le respect mais qui sait respecter des lois et une hiérarchie . Si l'Homme s'inspirait davantage du loup le monde irait surement mieux...

▬ Patronus ; Un ours blanc , imposant et terrifiant mais tellement magnifique en même temps , j'ai toujours aimé ce genre d'animal!
▬ Epouvantard; Etrangement mon épouvantard c'est moi-même , je vous jure , j'ai essayé un jour et je me suis retrouvé face à moi-même... La terreur qui m'a envahis était indescriptible même si je ne comprend toujours pas pourquoi j'ai si peur de moi-même... Je l'apprendrais surement un jour , je suis encore jeune après tout , j'ai le temps et c'est pas une information capitale de toute façon.

▬ Signes particuliers ; J'ai quelques cicatrices par ci par là , rien de bien effrayant , des blessures de guerres que je dois notamment à mes frères mais ça ne se voit pas énormement! Cela dit , mon signe le plus particulier c'est surement le fait que j'ai un chien qui me suit partout , c'est un petit Bouldog français de deux ans , il s'appelle Bingo... Ben quoi? Le chien est le meilleur amis de l'homme et lui au moins il ne me fait jamais la morale...

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Just my story

▬ Bon autant vous passez les détails de ma naissance, ils n’ont aucun intérêt, je suis née dans un simple hôpital miteux de Moscou, j’y suis resté à peine une heure et mon père m’a tout de suite ramené dans le village O combien rassurant d’Ijevsk, son village natale et bien sur le village où il vivait avec sa belle et tendre famille. Hé oui, je suis née d’un adultère entre un Russe macho (mon père) et une italienne sorcière à mi-temps et prostituer le reste de l’année (ma mère). Je ne sais pas vraiment comment ce choc des cultures à eut lieu, mais en toute logique je pense que mon père était en voyage professionnelle en Italie, qu’il a voulu se détendre un peu et manque de chance il est tombé sur la plus fertile des pu***** italienne. Neuf mois plus tard je suis née de cette amour passionnelle -notez l’ironie- et je me suis retrouvé dans la famille Lesskov, l’une des plus importantes familles de ce village isolé et coupé du monde qu’on appelle aussi affectueusement : Le trou du c** du monde.

Mon père ne m'a pas récupéré par bonté d’âme , il savait bien que sa maitresse d’un soir aller m’abandonner dans le premier orphelinat du coin mais qu’au fond je ne serais surement pas plus malheureuse qu’un autre , cela dit , il se refusait à voir son sang qu’il vénérait tant , se promener dans la nature sans aucune attache. Il voulait avoir le contrôle de toute sa famille et tant pis si il devait ramener une bâtarde à la maison, tant pis si il devait imposer à sa loyale épouse de l’élever et tant pis si les gamins qu’il avait déjà n’était pas d’accord. Après tout c’était lui le chef, impossible de le contredire donc.

Dés mon plus jeune âge on m’a fait comprendre que je n’étais pas la bienvenue à la maison, en tout cas ma belle-mère et ses charmants fistons, mes demi-frères, se sont donnaient pour mission de me le faire comprendre par tout les moyens. A deux ans, ils s’amusaient à foutre le feu à mes poupées, à trois ans ils ont commencé à me faire des farces du genre « m’enfermer dehors dans le froid manquant de me tuer » mais rassurez vous, ce n’est qu’à cinq ans qu’ils ont décidé qu’il était temps de passé aux choses sérieuses cet à dire : Me foutre des raclés pour des raisons obscures voir inexistante. Bien évidemment, Agnessa, ma belle-mère que j’appelais maman pour la forme, fermaient continuellement les yeux, quant à mon père il trouvait ça normal, en fait il disait que c’était un moyen pour ses fils de montrer leur supériorité masculine et d’affirmer leur virilité. Cela dit, il a quand même décidé de me donner un conseil quand j’avais cinq ou six ans, un conseil qui ma fois était digne des meilleurs pères du monde. Il m’a dit avec un calme olympien et une voix rauque : « Si tu veux survivre, il va falloir te battre ». Y’a pas à dire, c’est le genre de conseil que tous les pères donnent à leurs petites filles de cinq ans.

J’ai suivis son conseil, je me suis blindé en quelques sortes, je subissais, je rendais aux centuples, mais je continuais tout de même de souffrir, de me sentir rejeté et abandonné par la seule famille que je connaissais. Après tout ils me faisaient payer quelque chose dont je n’étais pas responsable, sur laquelle je n’avais aucun contrôle, je n’avais pas choisis de naitre d’un adultère, de me retrouver dans cette famille, on ne m’avait pas demandé mon avis et si j’avais eut le choix j’aurais préféré finir dans un orphelinat miteux et remplit d’amour plutôt que dans cette famille… La seule bouffé d’air frais que j’avais dans ce village c’était Pétrova, nos familles se connaissaient de part leur rang aux seins du village et du coup on s’est rencontré alors qu’on était vraiment très jeune. On est rapidement devenue de vrais amies, elle était la seule personne avec qui j’avais envie de jouer ou plutôt avec qui je pouvais jouer sans me sentir menacé, car soyons honnêtes, quand je me retrouvais à devoir jouer au ballons avec mes frères je me doutais bien que le ballon ça allait être ma tête. Grâce à elle mon enfance à été moins difficile, mais quand même fortement différente de la sienne.

Mon père nous enseignait tout un tas de chose, l’art de manier des armes blanches, l’art d’utiliser son corps pour se battre, mais aussi l’histoire de la Russie magique, c’était une chose importante à ses yeux, peu importe l’âge qu’on avait, il nous traitait tous de la même façon. Autant vous dire que j’ai souffert, tant bien physiquement que mentalement, je ne compte plus le nombre de fois où Pétrova ma trouvait couverte de bleu ou égratigner partout … Mais finalement ça m’a aidé à forger mon caractère, un caractère bien tremper. Pour faire simple mon enfance, ou tout du moins ma petite enfance, fut loin d’être normal, on peut même dire sans équivaut qu’elle était hors du commun et même barbare, mais que voulez vous, les gens du Grand-Nord sont connus pour être des brute épaisse et c’est pire quand ils ont passé leur vie dans un village de sorcier conformiste, indépendant et ayant un certains penchant pour « le mauvais côté de la barrière ».

C’est à huit ans que j’ai découvert que j’étais une sorcière comme le reste de ma famille, pour une fois j’ai fais un peu comme tout les enfants qui découvre leur pouvoir, je me suis contenter de faire léviter quelques objets alors que l’un de mes frères me pourchassait à travers la maison. Autant vous dire que mon père en fut ravis, j’eus le droit à des félicitations et même à un petit cadeau, une poupée que Pyotr s’empressa de briser, mais tant pis le geste était là. Malgré tout , j’avais remarqué à l’époque que contrairement à mes frères je n’avais pas eut le droit à une mini fiesta pour fêter ma nouvelle évolution … Bien sur je n’ai rien dis à l’époque mais je peux vous assurer que j’en ai eut gros sur le cœur pendant un long moment , j’avais beau être habituer aux inégalité dont j’étais la victime , je n’étais qu’une enfant et j’avais vraiment l’impression que tout le monde me détestait pour ce que j’étais alors que je n’y pouvais rien. Heureusement Pétrova fut là pour me réconforter, il n’y a que prés d’elle que j’arrivais à pleurer, je me sentais totalement à l’aise à ses côtés et c’est surement pour ça qu’on est devenue si proche.

L’année de mes onze ans j’ai reçu la lettre tant attendu, celle qui me permettait d’entrer dans la célèbre école de Durmstang comme mes demi-frère avant moi et j’avoue que j’en étais ravis, pouvoir quitter cette maison les trois quarts de l’année et ce pendant six ans, c’était inespéré. Mon seul regret était de devoir laisser ma petite sœur Izabel et mon petit frère Feliks, en fait malgré son jeune âge Feliks montrait déjà les signes d’un caractère indépendant et fort, mais malheureusement Izabel avait toujours été faible et manipulable, sans moi pour garder un œil sur ses fesses je savais qu’il risquait de lui arriver quelque chose, mais je n’avais pas le choix.

Durmstang fut une véritable révélation pour moi , je me sentais tellement bien dans cette école , je n’avais peur de personne , j’avais des amis incroyable , surtout Pétrova , je m’amusais tout les jours , j’adorais apprendre de nouveau sort , de nouvelle chose , c’était vraiment la meilleur expérience de ma vie , enfin la meilleur après le sexe bien sur mais ça à l’époque j’en avais pas fait l’expérience donc ça paraissait vraiment être la meilleur expérience de ma vie , enfin bref. Quoi qu’il en soit, grâce à Durmstang j’ai pu enfin vivre une enfance, ou en tout cas une adolescence, plus ou moins normal, je n’étais plus obligé de suivre les règles barbare de mon père, même si étrangement j’avais prit l’habitude de m’entrainer physiquement tout les jours et de façon excessive, ce qui était plutôt ironique, la différence c’est que si je voulais arrêter je le pouvais et ça, ça changeait tout. Avec Pétrova on a commencé à faire tout un tas de projet, s’imaginant dans l’avenir, marié avec des gamins, des gamins qui deviendraient forcément les meilleurs amis du monde, mais bien sur la réalité fut tout autre, enfin surtout le côté « mariage et gosses ». Cela dit notre amitié à résister à tout, même à la folie de ma chère Pétrova!

Hé oui, à la fin de nos études, diplôme en poche avec les félicitations pour moi, elle m’a annoncé qu’elle allait s’en aller, vivre le grand frisson à travers le monde et qu’on ne se reverrait surement jamais. Sur ses mots je lui ais mit une claque et je lui ais dit qu’il était hors de question qu’elle parte toute seule et que je l’accompagnerais là où elle irait, qu’elle le veuille ou non. Voulant fuir sa famille et l’ombre néfaste que ses parents faisait planer sur leur fille , Pétrova décida de fuir sans un mot dit , enfournant quelques affaires dans un sac avant de partir en catimini , seul son frère , qui l’avait surpris bien malgré elle , fut au courant et il ne tenta pas de l’arrêter. Par contre de mon côté c’était clairement différent… Je dirais même que ce fut… Intéressant.

Je me souviens que toute la famille était assise pour le repas du soir, on fêtait dignement la fin de mes études, chose qui m’avait d’ailleurs plutôt surprise étant donné que généralement on ne fêtait rien, pas même mon anniversaire. Bref, mon père était en bout de table comme d’habitude, ma belle-mère était à ses côtés, tous mes frères étaient là, du plus jeune, qui allait bientôt rentrer à l’école de magie, aux plus vieux qui s’était marié et avait déjà deux gamins qui ne faisait que hurler et demander des cadeaux. D’ailleurs une de mes nièces n’arrêtait pas de tirer sur ma robe en disant qu’elle voulait un câlin … Je la vois une fois tout les deux ans et la bougresse veut un câlin ! Franchement les marmots sont bizarre, quoi qu’il en soit je l’ai ignoré et alors que tout le monde déguster ce fameux repas j’ai annoncé la « bonne nouvelle ».

Sophiia : « Je vais partir pour un autre pays, dès ce soir, je risque de ne pas revenir ni même de vous dire où je me trouve, mais je vous enverrez des lettres pour vous tenir au courant et vous montrez que je ne suis pas morte »
Dante (père) : « Pardon? »
Sophiia : « Papa j’ai mis deux heures à trouver les bons mots, tu ne veux quand même pas réellement que je répète tout ce que je viens de dire?… En plus je m’en souviens plus déjà! »
Dante : « Ce n’est pas amusant Sophiia, tu ne peux pas partir comme ça à l’aventure alors que tu viens d’obtenir un diplôme avec les honneurs! »
Sergei (frère) : « Il a raison, tu as obtenue des notes exceptionnelle, tu a la chance de pouvoir remonter dans mon estime, tu pourrais sauver ton honneur de bâtarde en devenant quelqu’un d’important grâce à tes compétences. »
Sophiia : « Il existe quatre synonyme de bâtarde, tu devrais songer à les utiliser histoire de varier un peu »
Dante : « Ca suffit vous deux! … Sophiia, tu a un avenir brillant qui s’offre à toi, j’ai eut des appels de mes anciens collègue, beaucoup de gens important ont remarqué des talents, tu ne peux pas gâcher ça pour suivre un homme au bout du monde »
Sophiia : « Hein? Quel homme? J’ai jamais dit que j’allais suivre un homme »
Maksimilian (Frère) : « Comme si t’envisageait de quitter le pays et de voyager juste pour le plaisir, t’es tombé amoureuse d’un sorcier et maintenant tu crois pouvoir tout abandonné pour lui! Tu imagine la honte que tu vas causer à notre famille? »
Sophiia : « Allo, Winston on a un problème, mon frère ne se rend apparemment pas compte des réalités! Ouvre les yeux, je suis un enfant illégitime, niveau honte sur la famille j’ai déjà atteint le summum »
Sergei : « Justement, n’aggrave pas ton cas … Il est hors de question que tu partes pour je ne sais quel pays. »
Dante : « Il a raison, fin de la discussion. »

Je fus abasourdi de les entendre me parler ainsi, comme si j’étais en train de leur demander leur avis !

Sophiia : « Heu pardon mais je crois qu’on s’est un peu mal compris, je ne vous demandais pas votre avis là, mes baguage son déjà prête, elles m’attendent en ville, je les récupère et je m’en vais… »
Sergei : « Il est hors de… »
Sophiia : « Je crois que t’a vraiment pas compris… Tu n’a pas ton mot à dire, je ne suis pas à ton service, je ne suis pas ta fille, je ne suis que ta demi-sœur bâtarde. Je ne sais pas dans quel monde tu vis , mais dans la réalité , un demi-frère qui traite sa sœur de bâtarde de façon répété n’a aucun droit sur sa vie, ni même un conseil , ni même un regard de travers , ton seul droit c’est de la fermer et de me faire un signe de la main en guise d’au revoir… Et essaie pour voir de m’empêcher de partir, ça me donnera l’opportunité de te botter le c** et de te donner la raclé que tu mérite »

Sergei se leva, prêt à en découdre et moi aussi j’étais prête à lui mettre la pâté , les yeux fixer dans les siens , déterminée .

Dante : « Ca suffit Sergei, elle a raison… Si elle veut partir c’est son choix… Je te demande juste de me tenir au courant, que je sache si tu vas bien… »
Sophiia : « … Est-ce que je dois m’attendre à recevoir un Avada en sortant d’ici ou tu es vraiment sérieux là? »
Dante : « Je suis sérieux, tu à l’âge de prendre tes propres décision, au fond j’ai toujours su que tu ne te plierais jamais à ma volonté, je suis trop vieux pour te forcer la main, alors vas y … Tu devras juste revenir pour les différentes fêtes de famille, j’y tiens… »
Sophiia : « … Du coup je sais pas si je préférais pas l’Avada dans le dos… »

J’étais sérieuse en plus, mon père m’a fait carrément flipper cette nuit là, il était tellement … Différent! Je m’attendais à devoir utiliser la force, j’avais préparé tout un tas de sort pour pouvoir m’enfuir sans trop les blesser, mais finalement ça n’a pas été nécessaire. En partant ce soir là il ma même serrer dans ses bras, d’une façon inhabituel, bien sur il m’avait déjà fait des « câlins » une ou deux fois dans ma vie, mais là, je sentais que c’était différent. Je m’attendais à découvrir qu’il était atteint d’une maladie grave et qu’il allait bientôt mourir, mais même pas… Quand je suis partie, je me suis retourné plusieurs fois, pour les regarder, je ne pensais pas ressentir ça, après tout ils m’avaient tous plus ou moins fait souffrir et pourtant je commençais presque à les regretter… Je n’ai quand même pas changé d’avis, ce n’est pas mon genre, je suis donc allé récupérer mes affaires dans une grande ville à quelques centaines de kilomètres de mon village, un de mes amis de classe avait gardé mes affaires pour que je puisse les récupéré avant de transplaner jusqu’en France, point de rendez-vous convenue avec Pétrova. Il faut dire que j’avais un sacré bordel à l’époque, des tonnes des livres, des malles remplis d’ingrédients pour potions, bref, je n’étais pas encore prête à lâcher l’éducation apparemment, j’aime apprendre ce n’est pas de ma faute.

Après avoir passé quelques nuits avec cet ancien camarade de classe, mêler l’utile à l’agréable à toujours été l’un de mes talents, j’ai rejoins Pétrova en France. Au début on s’amusait, on faisait la fête ne se souciant pas vraiment du lendemain, mais après un certains temps, on a commencé à manquer d’argent, du coup on a du trouver du travail, enfin en quelques sortes. On a commencé à faire des boulots pas vraiment recommandé, pour des gens tout aussi peu recommandable, mais le principale était qu’on gagnaient de l’argent et surtout qu’on adoraient ça. Au fil des années on s’est fait un nom, une réputation dan le métier comme on dit, personne ne sait vraiment à quoi on ressemble, tous ce qu’ils connaissent de nous c’est nos surnom : Lady Red (ou plus couramment Madame Red) et Black Widow. Cette façon de caché mon visage à chaque fois que je rencontre un client c’est très … Excitant je trouve, en fait c’est toute ma vie qui est devenue excitante, j’aime le danger, l’adrénaline et pouvoir utiliser toutes mes connaissances contre de l’argent, tout ça en compagnie de ma meilleur amie, la vie rêver. De plus on a parfois des clients intéressant, comme ce client Russe, ou en tout cas qui écrit très bien le Russe, on ignore qui il est, d’où il vient ou même à quoi il ressemble mais il paie bien c’est certains, de plus j’aime imaginer qu’il s’agit d’un jeune prince solitaire, riche, beau comme un dieu et secrètement amoureux de Madame Red, cet à dire moi… Oui je sais, j’ai une imagination débordante.