Kowu Limaë
C’est amusant de ne pas respecter... Le règlement !
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| Sujet: Epreuve numéro 3 for me!!! Juillet 26th 2010, 17:44 | |
| Un songe de fou Kowu était dans sa salle commune. Cela était exceptionnelle, elle ne tenait jamais bien longtemps dans ce lieu. Assise dans l'un des fauteuils elle imaginait un monde où tout le monde communiquait avec des gestes. Un monde où plus aucun mot n'existait. Les yeux fixés dans la cheminée, elle ne faisait pas attention a ce qui se passait dans la salle commune. Bien que la salle commune fut pleine, elle n'entendait pas un son. Elle pivota sa tête en tout sens, aucun élèves n'émettaient de son, auncun mot. Soudain elle fit un bond, Kowu s'éveillait, elle s'était tout simplement assoupie dans ce fauteuil, enfin non, elle était tout simplement dans son lit bien au chaud. Des sons, des mots avaient tout a coup fait échos et l'avait éveillée sans ménagement venant des élèves qui étaient montés. -"Ouf, cela ne fut qu'un songe..." Kowu clot à nouveau ses yeux fatigués et songea à nouveau a une vie qui devenait la sienne chaque fois qu'elle allait aux pays des songes... | |
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Madison K. Sullivan
Look at Me, then Love Me.
AGE : 29 MESSAGES : 1746 DATE D'INSCRIPTION : 25/07/2010
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| Sujet: Re: Epreuve numéro 3 for me!!! Juillet 28th 2010, 17:06 | |
| J'allais vivre. J’étais seule, dans ce souterrain désert, dans l’obscurité. Toute source de lumière était totalement inexistante ; le noir intense. Je sentais des centaines de milliers de frissons sillonner mes bras ainsi que mes jambes ; ils montaient lentement jusqu’à ma tête, où ils atteignirent mon crâne. J’avais très froid, des courants d’air frais me traversaient, ma robe avait même tendance à se soulever. J’entendais quelques mince bruits venant de derrière moi, mais j’avais beau me retourner je ne voyais rien. Au fil & à mesure que les minutes s’écoulaient, mon anxiété ne cessait d’augmenter. Même quelques gouttes de sueur se manifestaient sur mon front. Mais il était hors de question que je ne cède au stress que ma situation occasionnait. Je tendis les bras loin devant moi, & je commençai à marcher délicatement, en ne faisait absolument aucun bruit. Soudain, je sursautai. Mon cellulaire venait de vibrer ; mais j’avais eu une de ses frousses. Je venais de cogiter : si mon mobile sonnait, c’est que j’avais forcément du réseau. Je le saisis donc & tentai de joindre quelqu‘un qui aurait la bonté de venir me sauver. Malheureusement, une fois que j’eus entré le numéro d’urgence afin de joindre les autorités, l’invention qui failli me sauver la vie s’éteignit : la batterie était morte. Mais moi, je sentais bien qu’il y avait du mouvement autour de moi, mais je me taisais. Je me mis à courir droit devant moi alors que, sans le savoir, je fonçai en direction d’un mur. Le choc fut extrêmement brutal. Je m’évanouissais. J’ouvris un œil. Une lumière aveuglante me le fit refermer tout de suite. Mes yeux étaient en effet loin d’être habitués à une aussi vive lumière soudainement. J’étais assise. Je me demandais bien ce qui était entrain de se tramer, pourquoi étais-je ici alors que je devais juste rentrer chez moi, rejoindre mon fiancé… J’avais les mains liées, ainsi que les chevilles. D’ailleurs, la corde m’irritait. Je devais avoir de sacrés marques sur les avant-bras. Mais je me taisais toujours ; je ne disais rien. Je ne souhaitais qu’une seule chose… Qu’on me rende ma liberté. Je décidai d’ouvrir mes yeux entièrement. La seule chose que je distinguais, c’était une silhouette noire venir vers moi, une seringue à la main. Je ressentis soudain une vive douleur ; l’aiguille s’enfonçait dans mes chairs… Je criais. Mon cœur accélérait. Je n’arrivais pas à garder mes yeux ouverts, ils se fermaient tout seul. Je suffoquais, ma respiration devenait difficile. Etais-je entrain de mourir ? Mon âme était-elle entrain de s’envoler ? Un son résonnait dans ma tête ; c’était ceux d’une sirène d’ambulance. Les autorités étaient aussi sur les lieux. Les yeux à demi-ouverts, je vis trois personnes courir dans ma direction. Ils me sortirent de cet endroit, vivante. J’étais allongée sur un brancard, je me disais que j’allais vivre, grâce à eux. Je fus emmenée dans un centre de soins dans la foulée. Oui, j’allais vivre. HJ. J'espère qu'il n'y avait pas besoin de suivre le contexte du forum...
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