Charline et le dessin perdu [Elliot McKee FE]

"Aimer d'un amour humain, c'est pouvoir passer de l'amour à la haine, tandis que l'amour divin est immuable." feat Elliot E. McKee & Charline V. Canterbury

Des rires, des petits cris de joie, voilà ce que l’ont pouvait entendre à l’intérieur de l’appartement des Canterbury. Hé oui, Charline était retourné chez elle avec sa fille, Eulalie, profitant de se début de week-end pour passer la journée avec elle, histoire de profiter un peu de son enfant en dehors de Poudlard. La jeune mère et sa petite fille étaient donc allongées sur leur canapé, Charline chatouillant Eulalie qui ne pouvait retenir des éclats de rire cristallin et tellement agréable à entendre. Le rire d’un enfant est surement la chose la plus belle au monde, ce fut en tout cas la pensée du professeur à cet instant. Après ce moment mère / fille, Eulalie décida de laisser son talent artistique s’exprimer en faisant de magnifique dessins digne des pires œuvres de Picasso, mais quand on a quatre ans je suppose que ce genre d’œuvre est quelque chose de … Naturel. Enfin bref, après une bonne quinzaine de minutes passé à dessiner l’enfant prit une décision importante qu’elle ne tarda pas à partager avec sa mère.

Eulalie : « Maaaamaaaan!! Ze veux que tu donne ça à Beliote »
Charline : « … Il s’appelle Elliot ma puce »
Eulalie : « C’est pas beau quand même… »
Charline : « Lalie ne dit pas ça, c’est un prénom… Bref, pourquoi tu veux que j’apporte ça à… Beliote? »
Eulalie : « Parce que… »
Charline : « … Et qu’est-ce que t’a dessiné dessus? »
Eulalie : « T’a pas le droit de lire… »

Charline du se résigner devant le caprice monumentale orchestré par sa fille. Cette dernière ne voulait d’ailleurs même pas l’accompagner, résultats c’est chez la vieille voisine qu’Eulalie décida de passer l’après-midi, hurlant à sa mère de ne pas lire son dessin secret réservé à « Beliote ». Autant vous dire que ce fut une véritable torture pour Charline, elle qui était si curieuse mais qui détestait surtout ne pas tout contrôler et donc tout savoir… Ne pas ouvrir se foutu bout de papier était aussi difficile que résister à une tablette de chocolat ou une bouteille de lait de soja. Mais voilà, la jeune maman n’avait qu’une parole et elle ne comptait pas s’attirer les foudres de sa fille unique, alors tant bien que mal elle garda se dessin fermé, lui jetant de temps en temps un regard inquisiteur et torturé durant lesquels la pensée suivante lui traversa l’esprit « Et si je l’ouvrais ? Elle ne le verrait jamais … A moins que », malheureusement c’était ce « à moins que » qui posait problème. Eulalie était en effet dotait d’un odieux pouvoir, elle devinait toujours quand sa maman chéri lui mentait, ainsi elle savait déjà que le père-noël n’existait pas et qu’elle n’était pas née dans une rose contrairement à ce qu’on lui avait raconté.

Le chemin vers l’appartement de « Beliote » paru particulièrement long pour la pauvre petite Charline, pourtant ce n’était pas la première fois qu’elle s’y rendait, elle connaissait même la route par cœur et à chaque fois il ne fallait qu’une vingtaine de minute pour y accéder, mais là c’était totalement différent. Les secondes paraissaient être des minutes et les minutes des heures. Heureusement tout vient à point à qui sait attendre comme on dit, et après une demi-heure de torture et une chute humiliante sur un trottoir humide, la jeune brune arriva enfin chez le destinataire de se mystérieux message. Sans attendre la Canterbury frappa à la porte, Elliot lui ouvrit rapidement et bien évidemment elle entra chez lui sans même attendre une invitation de sa part, oui elle le connaissait tellement bien qu’elle s’imaginait être chez elle chez lui mais le contraire était aussi vrai. Bref, tout en entrant en trombe chez le beau brun en brandissant le papier rose d’Eulalie, Charline prit la parole :

« Eulalie m’a ordonné de t’apporté ça » Elle lui colla le dessin sur le torse avant de s’asseoir sur une petite table non loin, l’air avide de savoir ce qu’il y avait là-dedans. « Elle m’a défendu de le lire, alors vite vite ouvre le et dit moi ce qu’il y a dedans, histoire que je sache si ma fille t'a dessiner une tête de mort , un coeur ou juste un cheval mutant! »

Oui, ce n’était qu’un dessin d’une enfant de quatre et demi et pourtant Charline était autant intéressé par son contenue que s'il s’agissait de formule secrète découverte au fin fond d’une grotte perdu dans un pays lointain. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’en découvrant ce que sa fille avait écrit sur se papier rose parfumé, elle risquait de déchanté et de tomber de haut…

C’est vrai que pour le coup Charline avait été un peu « impolie », pas un bonjour, pas une bise, pas un petit câlin purement amicale, rien du tout, une vrai furie qui rentre chez les gens sans même les saluer, voilà ce qu’était Charline. Et puis d’un autre côté c’était une façon de ne pas se sentir bête devant son ex, c’est vrai qu’on ne sait jamais comment réagir dans ce genre de situation anodine quand la personne en question à été importante, plus que ça même. Bref, le plus important c’était de découvrir ce que se fameux dessin cachait, il fallait à tout prix que la jeune maman sache si sa fille avait un problème psychologique grave, du genre « je me mets à dessiné des oiseaux mort » ou pire « des télétobies mutant armée de fourche et de balais volant », se serait carrément terrible. Charlie attendait donc avec impatiente que Elliot lui apporte se dessin, d’ailleurs elle fit un large sourire lorsque son ex se mit à rire en qualifiant se magnifique dessin, encore inconnue pour elle, d’œuvre d’art. Cependant elle perdit rapidement ce sourire en voyant l’œuvre de sa fille, elle ouvrit d’ailleurs la bouche l’air à la fois surprise et choqué par ce qu’elle voyait. Et pour être honnête elle aurait préféré découvrir que sa fille était une psychopathe en puissance plutôt que « ça »!!

« Ben j’aurais préféré qu’elle soit une désaxée tu vois »

Sa fille réclamait l’aide d’Elliot pour faire fuir un « n’amoureux » alors qu’elle n’en avait même pas, bon d’accord elle ramenait parfois des hommes chez elle, plusieurs fois même, mais pas au point de faire peur à sa petite fille, enfin en théorie! Et puis franchement ses copains n’étaient pas laids au point d’effrayer une enfant. Mais le pire dans tout ça c’était que maintenant une conversation avec son ex allait devoir s’enclencher, une conversation gênante et surement moralisatrice, le genre de discussion qu’on évite d’avoir avec des ex, c’est d’ailleurs pour ça que la plupart des personnes normales ne gardent aucun contacte avec leurs anciens petits copains, mais comme d’habitude Charline se devait de ne pas faire comme tout le monde, c’était un peu une règle d’or.

Catastrophe, voilà maintenant qu’il parlait de leur ancienne vie commune, du fait qu’elle était assez lointaine pour que Charline puisse voir d’autres hommes, comme si elle n’était pas au courant. Youhou, elle était là quand ils ont rompus, elle a compté le nombre d’année et elle savait très bien qu’elle avait le droit de sortir avec qui elle veut, alors pourquoi se sentait-il obligé de le préciser? Quoi qu’il en soit elle ne pu s’empêcher de grimacer légèrement avant de répondre.

« Je ne vois personne, se type est venue deux fois chez moi et puis, tu fais bien de me préciser que je suis libre parce que je n’en étais pas tout à fait certaine »

Bien sur elle faisait preuve de sarcasme comme d’habitude et comme d’habitude Elliot mis les pieds dans le plat ou plus familièrement il joua les boulets de services, mais c’était toujours mignon à voir. Non pas que Charline le trouvait encore mignon hein, ce que je veux dire c’est que ça faisait partie de son charme, même si bien sur son charme n’avait plus aucun effet sur Charlie… Bon passons. La jolie prof de Poudlard laissa donc son ex patauger dans la mouise, le regardant avec un petit sourire à la fois gêné et amuser par la situation, puis lorsqu’il parla de se jeter par la fenêtre Charline ne pu s’empêcher de répondre avec humour.

« Oui je crois que c’est la meilleur chose à faire »

Rapidement Charline se leva pour suivre Elliot dans sa cuisine, toujours avec ce stupide dessin en main puis elle prit de nouveau la parole d’un air plus sérieux mais toujours un peu embarrassé par tout ça.

« Heu… Je ne vois personne, je veux dire ce type était un collègue de Poudlard, il est … Juste venu diner plusieurs fois mais on ne sort pas ensemble… Je te le dis juste comme ça pour pas que tu te mettes à chasser un petit-ami imaginaire sur l’ordre de ma fille… » Elle marqua une petite pause. « Wa la situation est très gênante là… Mais il faut que je te pose la question… Est-ce que… Tu étais agacé de savoir que j’avais un hypothétique homme dans ma vie? Je voudrais juste être certaine de pas me faire des idées ... Parce que tout est finis entre nous n'est-ce pas? ... N'est-ce pas?... »

Mayday Mayday , Charline Air Line va se cracher d’ici cinq seconde et entrer en collision avec Eliot 308 oO

Pourquoi avait-elle posé cette question? C’est une bonne question, elle-même n’était pas sur de savoir pourquoi ni comment ses mots étaient sortit de sa bouche, à croire que quelqu’un lui avait mit une arme sur la tempe en lui ordonnant de le faire, chose qui serait plus facile à expliquer d’un côté… Pourquoi n’avait-il jamais de terroriste armée quand on en a besoin hein? ! Charline resta donc là, devant Elliot, attendant une réponse qui pour l’instant n’était pas vraiment concluante ni même compréhensible puisqu’il se contentait de lâcher des « écoute,je » à tout bout de champs, comme si il s’agissait de la réponse miracle à tout les sujets. En réalité ça montrait surtout qu’il ne savait pas quoi répondre , chose qui ne présageait rien de bon , en clair la situation allait de pire en mal , d’ailleurs la Canterbury n’avait qu’une envie , s’enfuir en courant prétextant une quelconque fausse raison mais d’un autre côté elle voulait vraiment avoir une réponse à sa question et la connaissant elle ne lâcherait pas le morceau si rapidement.

Après les « écoute, je » voilà qu’il voulait faire du thé? Non mais franchement il croyait vraiment qu’il suffirait de faire un peu de thé pour que Charline oublie tout ce qu’elle venait de dire? Et puis en plus elle préférait le chocolat chaud aux infusions de plantes, de toute façon tout ce qui avait le gout de chocolat était suffisant pour la satisfaire, parfois elle mettait même du chocolat sur du poulet, horrible je sais mais c’était son truc de manger des machins dégueulasse pour les autres. Quoi qu’il en soit elle décida de lui faire un peu peur en ne répondant rien du tout, se contentant de lui jeter des regards inquisiteur presque assassin pour l’effrayer. Pire encore , voilà qu’après avoir littéralement arracher la porte de son buffet il se mit à citer la liste des thés qu’il avait … Verveine , tilleul , fruits rouges , cassis , figne ligne…. Ho wait! Figne ligne???? Depuis quand Elliot buvait du thé figne ligne???? Non, ce n’était pas son genre il n’y avait donc qu’une seule explication à ça, c’était une femme qui l’avait laissé là. Mais pourquoi Charline était-elle si surprise? Elle s’attendait à ce qu’il soit devenu un moine tibétains après leur rupture? Elle-même était plutôt devenue une sorte de Madonna en puissance alors lui…

Et voilà le retour tant attendu des « Ecoute, je », il pourrait en faire le titre d'un film si il continuait ainsi. Et elle l’aurait préféré faut bien le dire. Hé oui, ce fut un vrai coup de poignard quand il se mit à débiter qu’il sortait avec des filles avec un naturel presque déconcertant, bon d’accord c’était normal ils n’étaient plus ensemble mais s’était tout de même moins facile à entendre qu’à imaginer. Ho mais punaise il venait de retourner la question contre Charline là OO Catastrophe, apocalypse, fin du monde, bombe nucléaire, voilà tout ce qui était en train d’apparaitre dans son esprit, elle s’imaginait être sur un balais volant en train de se cracher en plein match de Quidditch.

« Je suis bien dans ma vie moi-aussi… »

Vous êtes le maillon faible. 

« … Mais ça ne veut pas dire que j’ai tiré un trait sur le passé pour autant … Toi tu a peut-être totalement oublié mais moi pas, cela dit je ne passe pas ma vie à vivre en ressassant notre passé … »

Maintenant il lui fallait du chocolat, c’était un cas d’extrême urgence. Elle sortit donc une tablette de sa poche, elle en avait toujours sur elle, elle croqua dedans ressentant un plaisir incommensurable comme si il s’agissait d’un rail de coque oO Impasse, voilà le mot qui vint à l’esprit de Charline. Qu’est-ce qu’elle était censé dire ou faire maintenant? Boire un thé comme si de rien n’était ? Dévorer des biscuits en discutant du dernier livre de fictions qu’ils ont lu ? Ca serait super mais un peu bizarre quand même, ce serait comme allez au mcdo après avoir commis un triple meurtre oO Mais il fallait faire quelques choses, dire un truc, sauver son honneur de femme forte et indépendante, c’est pour ça qu’après avoir avalé une nouvelle bouché de son chocolat elle enchaina rapidement en se dirigeant vers le salon.

« Bon, je vais te laisser avec ta vie si géniale, t’a surement la propriétaire de se thé ligne fine qui va pas tarder à arriver »

Ouais bon pour sauver son honneur et faire comme si elle s'en moquait elle repassera la grande brune hein.

Quel bordel cette relation quand même ! Nah mais c’est vrai quoi, elle vient pour lui montrer le dessin d’une gamine un peu bizarre et elle se retrouve à partir l’air énervé après une discussion sur leur vie sentimentale passé! Nah mais sérieusement qu’est-ce qui n’allait pas chez eux et surtout chez elle?? Charline était une sorte de génie avec un intellect bien au dessus de la moyenne et pourtant quand il était dans les parages elle ne pouvait empêcher les tuiles de s’enchainer, comme si elle passait d’Einstein à Paris Hilton en une fraction de seconde. L’amour rend aveugle mais de tout évidence il rend aussi idiot… Ho attendez quand je dis amour je dis amour/amitié hein, ne nous méprenons pas, après tout Elliot venait de le confirmer, eux deux c’était bel et bien finis, il était heureux dans sa vie avec Simone et cette femme mystère adepte de thé amincissant. Alors non, Charlie ne pouvait pas se permette de ressentir le moindre sentiment à son égard, c’était hors de question. Le temps était donc venue de partir, quittant la cuisine avec un gout amer dans la bouche, Charline se dirigea d’un pas assez agacé vers la porte d’entrée, il voulait rester silencieux et la voir partir ? Hé bien voilà, il avait tout gagné le petit brun au muscle débordant… Pourquoi je parle de ses muscles moi? ><

Mais voilà, rien ne se passe jamais comme prévu chez Elliot et encore moins quand Charline est dans les parages, du coup alors qu’elle venait d’entrouvrir la porte le propriétaire de Simone arriva en trombe, fermant l’entrée avec ses mains et se stoppant un peu trop près de son ex. La pauvre était surprise, agacé, gêné et tout autre adjectif qualificatif un tant soit peu chiant qui passait par là. Non mais on n’a pas idée de surprendre les gens comme ça, imaginez qu’elle eut le cœur fragile hein? Crise cardiaque et HOP adieu miss Canterbury, bonjour enterrement larmoyant. Bon d’accord j’exagère un peu, personne ne meurt de surprise mais il y a un début à tout. Bref, Elliot se mit à s’excuser et pour le coup Charline ne comprit pas trop pourquoi, il s’excuser d’avoir détruit leur couple? Car oui, il était le responsable à quatre vingt pour cent c’était une évidence. Ou peut-être s’excusait-il d’avoir fuit une conversation assez importante en gardant le silence et en parlant de thé? Peut-être qu'il s’excusait d’être arriver aussi brusquement près d’elle? Ou alors il s’excusait… DE L’EMBRASSER!!! O-o Choc. Explosion nucléaire. Attentat terroriste. Crime passionnelle. Voilà tout ce qui traversait l’esprit de Charlie alors que son ex déposait furtivement ses lèvres sur les siennes , lui offrant un baiser de quelques secondes , beaucoup trop court d'ailleurs mais ce qui suffit amplement à rouvrir des souvenirs qu’elle s’efforçait d’oublier et des sentiments qu’elle pensait enterré sous une tonne de béton , derrière une muraille en acier au milieu d’un océan de solitude.

La pauvre jeune femme resta un moment abasourdie par ce qui venait de se passer, elle était à la fois contente et colérique, non en vérité elle était davantage en colère que contente et « Beliote » n’allait pas tarder à en faire les frais. Sans crier gare la Canterbury se mit à lancer des choses sur son ex, des vêtements, des bibelots à porter des mains et autre bouquins. Tout en l’assaillant d’objet non identifié elle hurla :

« Espèce d’abrutit !!! Tu te rends compte de ce que tu fais parfois!!! J’ai mis des années à me remettre de notre rupture ou plutôt à essayer!! J’ai fais comme si tout allait bien et là d’un coup tu détruis tous mes efforts pour un baiser de trois secondes ridicule!!!!!!! » Elle n’arrêta pas de lui lancer des choses, se déplaçant dans l’appartement en attrapant tout et n’importe quoi, des objets généralement sans danger et assez léger pour être lancer avec rapidité. « Tu es un idiot !! Prends ça ! Ca! Et ça!!!! »

Oui bon d’accord, Charline venait de péter un câble et ce de façon assez significative, mais aussi s’était de sa faute à se grand dadet, on n’embrasse pas une femme comme ça, juste sous une pulsion alors qu’on a eut une relation passionnelle avec elle !!

Finalement après avoir mis le souque dans la demeure de mister  « je kiss sans permission », la jeune femme se stoppa, essoufflée par tant d’effort, elle reprit donc un peu d'oxygène, posant ses mains sur une commode non loin histoire de se maintenir debout. Toujours le souffle un peu coupé elle finit par rajouter.

« Voilà, je me sens mieux maintenant fiou ça fait du bien! » D’un coup elle avait l’air plus calme, comme si elle était passée de monstre sanguinaire à petit pioupiou coloré. Elle prit un ton sérieux mais aussi assez doux voir attristé. « Faut vraiment que tu te décide, si tu veux juste une femme pour coucher avec, achète une tortue plus grosse mais ne vient pas me faire ça juste pour le plaisir… Soit c’est finit, soit on recommence, mais y’a pas de demi-mesure, t’a pas à réfléchir, tu prends ta décision maintenant et c’est tout. Ne complique pas un truc très simple à régler. Soit tu veux, soit tu veux pas. »

Clair net et précis, c’était tout elle ça. Elle serait capable de rendre facile la fabrication et l'utilisation d’une bombe nucléaire.