| Nom : SULLIVAN Prénom(s) : Eléanor Nathéa Surnoms (facultatif) : /
Née le : 14/02/1967 Lieu de Naissance : Calgary, au Canada
Parents : Jess et John Sullivan. Tous deux sorciers, sa mère descend d’une branche de sang pur tandis que son père à des grands-parents moldu. Cette diversité donne à Eléanor différentes perspectives sur la vie et lui permet de ne pas prendre en compte les divers préjugés existant de part le monde. Frères & Soeurs : Thomas, un frère ainé de 15 ans de plus qu’elle. Ils ne se connaissent pas aussi bien qu’ils le souhaiteraient car Thomas est partie à Alkren alors qu’Eléanor était encore qu’une enfant. Il à une fille de 5 ans, Marie, dont la mère est parti juste après la naissance. Autres (enfants...) : /
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Situation familiale (célibataire, marié...) : Célibataire
Maison à Poudlard (pour les adultes) : / n’a pas été à Poudlard
Métier (pour les adultes) : Chasseuse de prime du Canada, elle à rejoint récemment Londres où elle s’est imposé comme partenaire. Aujourd’hui, les mots définissant le mieux son activité, bien que péjoratif, sont mercenaire et/ou assassin.
Groupe (ordre, mangemort ou neutre) : Neutre.
Récit de vie, histoire du personnage (une dizaine de lignes) : Eléanor fait partie de ses enfants qui se font désiré. Ultime tentative de la part de ses parents d’avoir un second enfant après plusieurs fausse couche, elle naquit. Quel plus beau cadeau de saint valentin qu’un enfant fruit de l’amour ?
Son grand-frère étant peu présent, elle fut presque élevée comme une enfant unique. Elle ne fut pas pour autant une enfant gâté. Malgré une certaine aisance financière, elle fut éduquée avec simplicité et amour. Elle eut droit aux vacances chez ses grands-parents comme tous les enfants de son âge, joua à explorer les greniers et les caves,…
Elle découvrit ses pouvoirs un jour dans le salon de la maison familiale en faisant brûler la table du salon. Elle avait essayé d’imiter le feu d’artifice moldu vu la veille au soir et avait – il faut bien le dire – lamentablement échoué. Il avait fallu changer la table du salon. Mais personne ne la gronda, et ses parents furent on ne peut plus ravie. D’autant plus qu’elle souhaitait elle-même aller dans la fameuse école Alkren depuis qu’elle était en âge de comprendre ce que cela représentait.
Certaines mauvaises langues diront que c’est parce que son frère ainé, très fortement admiré, y était allé. A cela, je répondrais que c’est possible. Mais quel mal y a-t-il à cela ? Tant que chacun y trouve son compte.
C’est ainsi qu’elle rejoignit l’école l’année de ses 7 ans. Elle était impatiente et avide d’apprendre, plus apte à la pratique qu’à la théorie. Ainsi, elle se retrouva dans la classe de Rahkesh Armadeus pour les cours de défense contre les forces du mal. Garçon âgé d’une année de plus qu’elle, rencontré au hasard d’une de ses premières explorations dans le château. Encore aujourd’hui, Eléanor ignore pourquoi et comment ils se lièrent d’amitié aussi rapidement. D’une certaine façon, ils se complétaient. Chacun pouvait compter sur l’autre.
Petite et plutôt frêle pour son âge, Eléanor fut pris pour cible dès les premiers jours. Mais les apparences sont trompeuses. Sous ses airs de filles fragiles, elle savait rendre coup pour coup, était du genre casse coup (ses années d’école compte parmi ses plus belles fractures), intrépide et sûre d’elle. Rahkesh et Eléanor s’entraidaient dans les luttes de pouvoir interne à Alkren.
En grandissant, la jeune fille devient de plus en plus rusé, têtue, indépendante. Elle fit de sa petite taille un avantage comparé à la force brut utilisé par les garçons. Bien sûr, les garçons n’étaient plus de simple garçon, mais aussi de potentiels petits amis. Ou même de potentiels ex-petits amis. L’attirance qu’elle éprouvait pour son ami changea. Mais elle ne savait pas si c’était parce que c’était lui ou parce que c’était un garçon et que ses hormones commençaient à se faire entendre.
L’adolescence fut une période pleine d’incertitude vis-à-vis du sexe opposé. Elle découvrit la jalousie, ses filles qui s’approchaient de Rahkash d’un peu trop près étaient agaçantes, mais elle ne fit rien pour les éloigner. Elle avait ce sentiment de supériorité d’être l’une des rares personnes à connaître le jeune homme. Elle ne sut jamais ce qu’éprouva son ami lorsqu’elle accepta les invitations d’autres garçons et ils n’abordèrent jamais le sujet.
C’est également vers cette période qu’elle se trouva un familier en la personne (façon de parler) d’une chatte noire répondant au nom de Stella. Le félin était ressemblait tant à sa maîtresse qu’il n’était pas difficile de savoir pourquoi ces deux là c’étaient choisis.
Parmi les nombreux cours qu’elle suivit tout au long de sa scolarité, elle apprécia ceux d’action tels que la Défense contre les forces du mal, les différents types de combats, la filimagie qu’elle avait beaucoup aimé apprendre et qu’elle utilisait de façon récurrente dans son boulot de chasseuse de prime.
Vers la fin de sa scolarité, elle avait même appris à s’utiliser comme appât. Son apparence de femme fragile était un piège parfait pour ceux qui ignorait qui elle était. Un peu de maquillage et elle était la beauté fatale qui attirait ses proies comme le miel attire l’abeille. Capable de se fondre dans la masse, elle était un traqueur à la patience démesurée prête à tout – ou presque – pour ramener ses proies au Ministère Magique Canadien au Service du Département Extérieur.
Rien n’est plus excitant que la chasse. Elle était un félin. Traquant, dissimulant sa présence, bondissant sur sa proie. Rien ni personne ne lui échappait.
Son boulot lui permis de voyager dans le monde entier, de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles personnes, de nouvelles choses, chaque jour à chaque instant. L’amour de la vie aussi, car elle avait failli y laisser la sienne. Cela l’avait fait beaucoup réfléchir. A ce qu’elle était. Ce qu’elle éprouvait. Pour qui.
Et après tant de réflexion, elle se décida à agir. Quitta le ministère pour rejoindre celui qu’elle considérait comme son meilleur ami, le meilleur partenaire qu’elle ait jamais eut. Elle avait besoin d’éclaircir les choses. De savoir enfin, après toutes ses années, s’il n’était vraiment qu’un ami.
Il est vrai qu’elle quittait un boulot reconnu de tous pour un emploi moins reluisant. Mais la vie est faite de compromis. Aussi bousculat-elle Rahkash pour travailler avec lui comme il le faisait à l’école. Un duo redoutable sur le terrain et que rien ni personne ne pourrait arrêter.
Si cela ne se passait pas comme elle le souhait, elle avait encore la possibilité de retourner au Canada car elle y avait toujours son petit appartement qui lui servait de pieds à terre entre deux missions. Mais elle espérait ne pas avoir à en arriver là.
III. INFOS SUPPLEMENTAIRES
Bois de la baguette : En merisier rose clair.
Élément de la baguette : Un crin de licorne (il serait noir pour la petite histoire, mais il est bien sûr impossible de le vérifier)
Patronus : Le patronus d’Eléanor est un tigre blanc.
Epouvantard : La jeune fille éprouve une peur panique à la vue des cafards. Une peur physique, qui la prend aux tripes. En une seconde elle devient pâle à faire peur, incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit. En toute logique, un flot de cafard marchant les uns sur les autres correspond exactement à sa plus grande frayeur.
Signes particuliers (animagus, métamorphomage, cicatrices...) : Un tatouage en forme de croissant de lune au niveau de l’œil droit, signe de son appartenance à l’école d’Alkren.
Personnalité sur votre avatar : Kate Beckinsale